TAKE SOME QUAKER OATS ♦
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Partagez | 
 

 « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Baudoin I. Lake-Mesloes

Baudoin I. Lake-Mesloes




Date d'inscription : 11/08/2010
Messages : 198
Date de naissance : 14/07/1996

PASSEPORT.
Age & Pays :
Correspondant :
Relations :

« les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan _
MessageSujet: « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan   « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan EmptyMer 11 Aoû - 0:51

LAKE-MESLOES Baudoin (Ielyan)
« les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan 1z6bnm
Amour, vodka,
ma douce tu es tout ça pour moi.




« Carte
d'identité. »

Nom & Prénom(s) : Baudoin Ielyan Lake-Mesloes. Oui, je sais, Baudoin ça craint pour une rockstar.
Date & Lieu de naissance : Hutto, dans le Texas. Zone carrément aride si tu veux mon avis, vers la mi-mai. Ma maman elle crevait de chaud !
Pays de résidence : Je voyage beaucoup pour mes tournées, je veux dire nos tournées, mais mon cœur appartient à l'Amérique. Quand on me demande un bon son, je répond Surfin' USA, c'est pas la preuve absolue de mon patriotisme?
Orientation Sexuelle : Hétero, enfin c'est facile à dire quand on a rencontré le grand amour.
Métiers/Etudes : Chanteur, quoi, t'es jaloux? J'ai aussi fait serveur de Burger King, mais l'ambition aidant, j'ai enfin un métier bohème.
Personnalité sur l'avatar : Alex ( très sex ) Pettyfer !
Perso inventé/Scénario : Inventé.



« Dis nous, c'est
quoi ta vie ? »


    J'ai croisé des filles en boîtes, des jumelles... Le truc c'est qu'elles étaient sœurs.


« Tu n’as jamais pensé à traverser une autoroute à pieds ? Sérieux, juste pour te sentir invincible, increvable, miraculeusement fort face à ces monstres que sont les camions, voitures et cars de tournées. Moi j’ai très souvent envie depuis que j’ai vu ce gamin, en Europe, frôler le bus dans lequel je me trouvais. C’est bête mais j’ai eu le sentiment d’être une sorte de sans-couille universel, assis tranquille le cul posé sur son siège en cuir. Heureusement qu’Abby était à côté de moi sinon j’aurais réussi à m’apitoyer ! Abby, c’est terrible… dans le bon sens du terme. J'ai quasiment réussi à arrêter la fumette pour ses beaux yeux, enfin, elle n'a pas que les yeux de beaux. Elle chante vraiment bien. J'ose jamais la complimenter, de peur pour passer pour le dernier des débiles, ce que je suis. Certes, " t'es belle comme un soleil ", ça va par rapport aux autres bêtises qui sortent de ma bouche. Heureusement, souvent ça passe comme une lettre à la poste. Tu sais qu'il y avait un roi de Toronto? Si, je t'assure. C'est avec une idiotie pareille que j'ai découvert deux choses : un de mes plus chouettes potes et la célébrité. Parce que je sais que ça fait pas, mais je gagne plus que le président français en un mois que lui en un an. C'est super pratique, vraiment. Un matin ou j'étais défoncé - et donc Abby de mauvaise humeur, ça marche ensemble - j'ai pensé ouvrir une ligne de bonbons à son prénom. Ce sont des sucreries vraiment cool, en forme de smiley. Pour l'ouverture j'avais fait une édition spéciale, au shit. Quoi, quel problème? C'était le mien. Nos amis raves en ont bien profité. Je sais pas si tu es au courant, moi dans la vie j'ai classé mes potes en catégories. Mes préférés sont les amis-rave, avec qui tu te shootes en discutant futilité, superflu, bref des tas de choses en f, en exceptant les femmes des autres. Ensuite, ami-fous, les gens qui me servent bien quand je m'ennuie. Ne crois pas que je les utilise. Si ils se pointent demain matin en ayant besoin d'un dirigeable, no soucies. Et il y a les amis bourges. No comment hein. Je fais avec, quoi. » « Ielyan, pourquoi tu parles à la vitre? » « Oh, hum, et bien je croyais que t'étais endormie... et comme je peux pas parler avec toi quand tu dors j'essayais la vitre. Bon, elle a pas ta conversation... allez, rendors toi mon ange, on a encore cinq heures de vol. » Je laissais ma tête retomber sur mon ancienne interlocutrice, dédaignant le matage de nuage, préférant fermer les yeux. Presque dans l'instant, une image de Winnileen se projeta sur un écran imaginaire, signe que j'allais faire un cauchemar. Purée, elle pouvait se vanter d'être inoubliable la sale jumelle. C'est pas facile tout les jours de détester la sœur de la femme de sa vie. Comme si tu te trouvais beau en vrai et carrément ignoble dans un miroir. Je me souviens vraiment bien de ma rencontre avec la méchante miss Dawes. Elle portait une de ses chemises à carreaux, le genre qui donnent l'air faussement détendue, avec un pantalon qui tenait plus du collant que du pantalon. Elle se trémoussait au rythme de " Crocodile Rock " diffusé par le jukebox. Quelle idée bête, un jukebox dans un Burger King. Bref, je la draguais même pas - c'pas qu'elle est moche c'est que c'est comme Dark Vador, le côté sombre de la force, tu le vois venir de loin - mais Miss m'a sorti une réplique de femme fatale en herbe. Je vanne, hein, c'était digne d'un parle à ma main sa " sentence ". Alors j'ai gentiment mis une pièce de viande de bison dans son hamburger végétarien. Elle l'a bouffé, puis simulé une allergie. Je sais que suis assez con - mes copains me le répètent un jour sur deux - enfin je sais que la viande de bison c'est bon. La Winnie a balancé son ( excellent ) repas dans ma figure. J'suis pas une mauviette. J'ai riposté... je vois les images, hélas c'est bizarre, dans mes souvenirs je lui envoyais de la sauce piquante, pas une rafale avec un bazooka nouvelle génération sorti du dernier jeu vidéo de guerre que j'ai acheté en criant comme un gros bourrin mort-aux-mals-baisées... Soudain, elle ouvre sa bouche en grand, et gueule très, très fort. « Reveille-toi! » J'écarquille les yeux, pour me découvrir dans l'avion, les bras de ma dulcinée sur les épaules, la consternation des autres passagers sur ma tête. Et cette vérité qui vient me frapper, d'un coup ; je parle dans mon sommeil. Théo rie à gorge déployée, Abi affiche son éternel air " shooté ou pas shooté " et Loù n'a rien remarqué, torturé par le trajet aérien. Je la comprend un peu, moi j'ai découverts un jours que c'était la loterie? Tu veux de la Scandinavie, t'as Toronto. Il faut croire que le destin connait toutes les voix, même les improbables.

• • • • • • • • • • • • • • • • •


« les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan 2aa12mh
Quand les héros pleurent et que la pluie d'un coeur se déverse sur une réalité ordinaire,
Quand un mythe s'écroule ♪

Séjour dans un centre de désintoxication californien.

Les chambres n'étaient pas laides, d'un point de vue purement objectif pourtant je possédais ce sentiment d'être enfermée dans une cage décrépie, nourri de plats en cartons. Foutus journalistes, qui m'accusaient sans savoir. Bien évidemment, j'avais sniffé des joints, achetés à des gens, qui faisaient du trafic. C'était logique. Je n'étais pas pour autant le parrain de la mafia ! Assis sur mon lit, affamé comme pas possible, je feuilletais le catalogue Laperla, malheureux, triste, en manque d'elle. Cela faisait deux mois que je commandais un par un les tanga, culottes et soutiens gorges fabuleux, imaginant son corps magique, sculptural dans ces tenues légères mais ça ne me consolais pas. Usuellement, lorsque je désirais Abigail sans être en mesure de l'obtenir, il me suffisait d'un joint. Elle détestait les drogues, je tentais de voir cela de son point de vue, c'est ce qu'on me demandait en thérapie de groupe. Des inconnus aux sourires édentés me forçaient à expliquer d'une voix qui n'était pas la mienne que ma moitié souffrait. Abandonnant le visionnage des froufrous, dentelles et autres, je tirais de mon sweat moisi une photo découpée dans les journaux. Elle datait d'il y a bien un an. Abigail, Ielyan, Théo, notre première séance photo pour la presse. Le photographe, un incompétent banal, s'était laissé convaincre ( après deux ou trois bonbons-shit, j'avoue ) de donner son bel appareil photo au prince de Toronto - on a les meilleurs amis que l'on mérite, babe - j'en avais gardé cette image. Moi et Abi collés, englués, devant un décor champêtre. Presque un souvenir de vacances. Hélas les congés étaient terminés. « Monsieur Lake-Mesloes? » « Bonjour, Madame la Directrice. » Elle s'était incrustée en deux secondes à peine, insouciante. Elle, elle se moquait tellement que je sois clean que ça en devenait vexant. Limite si elle m'offrirait le joint de la rechute. Aussi discret qu'un éléphant, j'enfouis le bout de papier sous les draps. L'autre idiote n'était habilité qu'à me faire des remontrances, pas des réconfortances. Svetlana, car c'était son prénom, me dévisageait, simulant une inquiétude terrible. Inhabituellement familière, elle posa son cul à dix mille dollars le fessier sur mes oreillers durs façon béton. Modulant sa voix de crécelle en de doux accents, elle lacha enfin la nouvelle. « Les cantiniers ont récemment remarqué que vous refusiez de vous alimentez. De ce fait, je pense à vous transférer dans l'aile réservée aux personnes souffrants de troubles alimentaires ... » PAS DE POINGS, PAS DE POINGS IELYAN! ma conscience s'en donnait à cœur joie. Crispé, énervé, mes ongles pointus défonçant ma peau, je projetais une image d'Abigail dans ma tête. Mon ambitieuse, ma championne, ma motivation, mein Song, mein Welt, meine Ding! Mes pieds se posèrent à terre, j'enlevais mon sweat, ma première veste, mon T-shirt. Torse nu face à la directrice, je pris la parole. « Regardez moi attentivement. Est-ce qu'un corps aussi sexe que le mien à besoin de perdre du point? Vous voyez les abdos là? Les biceps ici? Sérieux, faudrait être teubé pour souhaiter le changer. Mais voilà, le vrai soucis c'est votre bouffe. Sous prétexte que l'on a trouvé UNE FOIS du shit, pardon, de la marijuana, dans une calzone, on a pas le droit de se faire livrer. Sérieux, vous mangez pas au self ! Troubles alimentaires... nan mais sérieux dans quel monde on vit... » Bizarre, la bureaucrate. Elle ne me matait qu'un chouilla, alors que je lui faisais le cadeau d'une vie. Ielyan Lake-M. en live, rien que pour elle. Je serais elle, je me serais violé. Ses deux globes oculaires, semblaient fasciné non pas par ma plastique mais la manière si particulière que j'avais de me défendre sans Abi. Svetlana. Abi. L'une expulsa l'autre de mon esprit. « On vous fait livrer une pizza demain, si vous acceptez la thérapie personnalisée. » Quelques poussières expulsées en un soupir, une phrase flottant dans l'air " Iel, t'as fumé trop de joints. T'entres en désintox ou c'est l'abstinence à vie " ... Je ne résistais à aucun chantage. Serrant la main, scellant le pacte, je m'exclamais. « Tope la, catin des bois. »

Une semaine. Il m'avait suffit d'une semaine pour retrouver mon moi qui s'était un peu mouru sous mon surmoi. J'avais dis bonjour, fait la cuisine. On m'adorait enfin, même si les autres détenus, kof kof, patients se moquaient de ma sobriété. Aujourd'hui j'ai thérapie. C'est un truc un peu space, d'ailleurs. Vu que le psychologue a ( trèèèèès ) peur de moi, j'étais enfermé dans une pièce d'isolation, avec un écran face à moi, in the style of secret story. Une question s'affichait. Ils me regardaient à travers un miroir sans tain. Allez, qu'il envoie j'étais prêt à m'affronter, tant que la pizza étais au bout du chemin. En lettres capitales s'afficha une interrogative simplissime. " Aimes tu la personne que tu es actuellement? " Laissez tomber, sincèrement. Je sniffe par ennui. « Je m'aime. C'est normal pour une rockstar! Je veux dire, tu te vois crier à la foule que tu veux la baiser, sans être ton premier fan? Non. Et puis sincèrement, je m'adore d'être à la hauteur de ma belle Abigail. D'avoir un meilleur ami qu'est le putain de futur roi de Toronto. Sérieux, je suis le meilleur homme du monde. » Un pressentiment me fait comprendre que c'était la plus simple. " Alors pourquoi consommes-tu tant de marijuana? " touché coulé. « C'est pas de la mary-jane, c'est du shit. Vous en avez des questions. Je consomme. Point. Je consomme... Con. Somme. Attendez, j'ai chopé un truc. » Attrapant un bic réfugié dans mon sweat, je commençais une belle poésie sur mon avant-bras.
Et si je ne suis qu'un con en somme
Coincé le coeur calciné au foin du joint de papier
Si j'avais pu ne jamais cessé de t'enlacer
Et si je n'étais pas poussé à consommé...
Tu sais la vie n'est pas ce qu'elle semble
Je veux regarder à travers tes yeux, que l'on soit ensemble,
Abigail quand je déraille, je t'en prie prend le gouvernail.
Je relu une fois, pour garder l'air en tête, avant de me retourner vers l'écran. Le texte avait changé. " Uses-tu de la drogue dans un processus créatif? " Décevant, mais bon, le pauvre doit être désespéré. « Non. Je fais déjà des fautes d'orthographes quand je suis clean. » Rire étouffé par les murs, mon psy commençait à m'apprécier... En tendant l'oreille, je l'entendis tapoter trois mots sur son clavier puis se raviser. J'avais échappé au " Es tu homo? " classique, merci dieu. A la place j'eus droit à " Pourquoi es-tu là? ". Il n'était peut-être pas gay, finalement, pour ignorer les potins à ce point. « Pour Abigail, la femme de ma vie. Ça te va? C'est affreux de me dire qu'elle est partie se saouler dans NY tandis que moi je croupis. La Californie c'est moche, ça sent le botox. Je suis surement un gamin mais je VEUX Abby. J'ai envie de mettre en place son plan magique, mariage, bébé blonds, vivre dans un clip de MTV, d'accord, mais ce n'est pas une finalité. Tant pis si il faut sacrifier le sacro-saint joint dominical. J'ai envie que Théo me raconte encore que c'est, les repas de Toronto. Ca me fait outrechier d'être coincé ici. Je ressens que le manque d'EUX. Ma vie est chouette! » Il se sentit soudain désobligeant. C'est con, un psy pour les gens heureux. " Séance terminée", plus qu'une trentaine d'ensembles Laperla. La victoire est au bout du chemin!

    « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan 16get6p « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan Xf9rt2
    « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan 2q9mih0 « les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan Ixdp3r

    Depuis quand je fais confiance aux mots?
    Tentatives de mails à la famille. Un jour d'automne.


Citation :
Papa,
Comment vas-tu ? Tu sais, depuis le jour ou j’ai couché avec maman découvert la vie coca-cola side, j'ai pas mal changé. Je crois que tu lisais la revue du rancher, à l'époque. J'espère que t'as maté l'interview que j'y ai donné, juste pour que t'ai des nouvelles de ta progéniture. Oh, connais-tu la nouvelle? Baudoin Ielyan le nul s'est casé. Elle est très sexy et complétement extraordinaire le genre de fille qui ne conviendrait pas à un vieux porc, genre toi parfaite. J'espère que les boeufs vont biens, que le bar n'a pas fait faillite à cause de ta monstrueuse ardoise, pochtron. Je pense que tu as bien fait de ne pas me donner de sous, sérieux, les intérêts c'est chiant quand je peux les payer. Mon groupe est vraiment bon, tu sais, on a un producteur, j'ai des amis formidables. Même cette pute charmante fille qu'est Winnileen, jumelle de ma copine, reconnait qu'on est bon, yo. Finalement c'est cool que t'ai été odieux, que tu m'aie laissé rater les épreuves de coloriage en maternelle. Hein, on le sentait mon penchant fumette
que j'étais un créatif en devenir, avec mes arbres roses et bleus. C'était le bon temps.
Bonne continuation, Daddyconcool.
SUPPRIME. Il était pas illettré, en vrai, mon père?

Citation :

Winnilen,
Je sais que c'est une lettre de menace que je t'écris mais ranafoùt. Tu as beau avoir la même adorable gueule qu'Abigail qui est le soleil de ma vie, je t'emmerde. J'emmerde aussi ton tempérament de profiteuse abominable, qui a quand même laissé pénétrer l'équipe de snowboard slovaque en entier. Ne nie pas, je sais ! T'sais, je m'ennuyais un jour, j'ai essayé de dresser la liste de tes exs. Y'a des sites pour ça. Affolant... Tu peux pas t'en souvenir en entier même en tentant. T'as couché avec des serbes, des croates, des russes, des tchèques, des grecques, des chypriotes, des togolais, des togobeaux, des ivoiriens, des aveugles qu'y voyaient rien, des turques, des indiens, une dose de chinois impressionnantes - je suppose que tu laisses sa part à chaque pays en proportion des habitants - des koweïti, des venezueliens, un mec de Montevideo ( tout un programme ) ... T'es le liant entre des pays en genre, l'anti-raciste sexuelle. Affligeant. Mais c'est acceptable quand tu es a un bon millier de kilomètre de NOTRE groupe. Alors si tu déménages pas à un endroit éloigné de NY, Amsterdam et Toronto, je serais content. Sinon, j'te découpe.
BOITE D'ENVOI. En attente...

Citation :
Salut Ielyan,
Tu te souviens de moi? J'étais à ton concert de Brooklyn. Je m'appelle Mary-Jane. Ce qui est un gros avantage dans la vie, d'ailleurs, et j'ai toujours été GRAVE fan de toi. Abigail est certe super hot, super voix et compagnie, enfin, quand même, tu pourrais tenter d'être open. Je suis prête à te recevoir. Embrasse Théophile et l'autre petite à la guitare pour moi.
BISOUX, MARY-J.
REPONDRE. Quelle garce !
Citation :
Chère Mary-Jane,
Je suis ravie que tu ais décidé de faire marcher le téléchargement. Quand à ta proposition, on va mettre les points sur les i, veux-tu? Abigail est l'unique femme pour laquelle je ferais un quelconque effort, la seule autorisée à m'aimer parce qu'elle le mérite, elle a du cran, le vrai. Parce que c'est minable de se cacher derrière un pseudonyme pour faire des propositions obscènes. J'aime Abi, Abi m'aime ou du moins m'apporte un bonheur tel qu'elle en donne l'impression. La beauté de ce qui se passe entre nous doit te dépasser, tu adoptes le comportement de la demoiselle gâtée qui va m'ajouter à son tableau de chasse. Prend ta vie en main, sérieux. Dernière chose, notre guitariste, elle s'appelle Loùkhià. Compris?
ENVOYÉ. Voilà, ça, c'est ce que je fais tout les matins entre la douche et le moment de questionnement " puis-je fumer? " auquel j'ai commencé à réussir à répondre non. J'ai de la sympathie pour les mails, parce que j'en reçois peu. J'apprécie ces choses simples, ce moment ou Abby sonne la fin de mon rituel avec un baiser, que Théo se lève en sale état à cause du dernier concert. Que le calendrier clignote d'une date importante. Aujourd'hui c'est une séance de dédicace, demain ce sera un concert. J'ai une vie chouette, je vous l'ai déjà dis?

• • • • • • • • • • • • • • • • •


Nous sommes désormais grâce à un miracle nommé Théo dans le fond de l’avion, prêt à tranquillement s’observer dans le blanc des yeux. C’est comme un banc public, dans le fond, en moins drôle néanmoins je m’en moque, tant que nous restons tout les quatre ensembles. Je me penche à l’oreille de ma douce beauté, murmurant doucement. « Tu sais, je suis sobre. Nous allons atterrir dans une heure. Que veux-tu faire de moi ? » Je rie. On m’interviewe régulièrement. Tu manges quoi Ielyan ? T’as des perversions ? Je préfère tenir le rôle de maitre du jeu. De celui qui vient de commencer à déboutonner sa chemise si belle en l’embrassant. Sa bouche est un miracle, j’ai du la frôler un millier de fois pourtant c’est encore somptueux, unique. J’en ai connu, des filles, des coups d’un soir, aucun ne possédait cette saveur là. Ce goût d’aventure, cette sensation d’être chez soi. J’attrape sa main et nous nous levons, sous les yeux bienveillants de Théophile. Chacun son combat, c’est étrange, quand monsieur le prince se trouve dans la même pièce que Loù, ses pupilles ne se dilatent pas pour les même raisons. Pourtant j’ai du mal à les voir amoureux. Ca rentre dans ces scénarios affreux ou Abby ne veut plus de moi, que Théo et Loù se détestent et que le groupe s’arrête. Nous entrons dans la cabine du personnel, sans scrupules, fermons à double tour. Le reste de l’histoire nous appartiens…



« Liens avec ton
correspondant. »


Qu'est-ce que je fais bien pouvoir dire à une fichue australienne? Salut, moi je m'appelle Ielyan, rockstar, et toi ? Tu connais mon groupe? Quel minable je peux être, quand même. Je commençais une longue marche autour de mon pc, cherchant mon courage. Allez, Ielyan. Ouvre ce putain de pc et fait toi une amie !
Voilà comment cela à commencé avec la belle Anaël. Abigail nous avait inscrits, nous les quatre merveilleux rockeurs, à ce truc d'échange pour jeunes. Aussi, j'y ai mis de la bonne volonté. Je lui ai beaucoup parlé. De toute, de rien, de moi, sans mentir. Je suis passé par les sujets les plus ordinaires aux plus inhabituels. Je lui ai raconté mes goûts, pourquoi j'aime vraiment pas manger au fastfood, pourquoi je change si souvent de vêtements, ma façon de créer des chansons. Mes phobies, mes passions. D'une certaine façon c'est étrange de dire qui l'on est à une étrangère.



« Questions
& réponses. »


    Ou sont les mec qui pris de panique prennent des claques
    J' préfère nettement être de tout ceux qu'on acclame
    J'ai observé depuis l'époque des Bénibis
    Seigneur achève moi si j'ai la poisse comme un Kennedy


Style de musique : Le mien, bien évidemment !
Canapé ou sport : Canapé, que ce soit avec ma dulcinée ou un bon vieux jeu vidéo cliché ou les méchants attaquent les gentils. Les deux sont cool tant qu'à la fin, je gagne...
Salé ou sucré : Sucré, d'avoir servi un an dans un fastfood me rend malade à l'idée de songer aux burgers trop salés, frites grasses et immangeables, les nuggets à la croute dégoutante... AAHRG! Que l'on me donne une sucette...
Soleil ou pluie : Soleil, plage, fumette. Gainsbourg ne voyait pas assez loin.
Ville ou campagne : Ville, d'une parce qu'I amsterdam, et de l'autre côté, entre les rues désertes du désert - je sais, je suis très intelligent - les plaines vertes à la con et co, j'ai assez donné.



« Toi ! Oui toi, assis
derrière l'écran. »

Prénom/Pseudo : Alice/Lirane
Age : 14, l'âge de raison !
Comment as-tu découvert le forum ? Une des admins m'aime bien, il parait (aa)
Comment le trouves-tu ? Sublime, merveilleux, formidable, original, parfait, soigné, chaleureux, solaire, électrique, vert, fleuri, australien, drôle, open... je continue?

Alors, heureux ? Trop d'être dans la cité de Tom' Hooker!






Dernière édition par B. Ielyan Lake-Mesloes le Mer 20 Oct - 17:52, édité 35 fois
Revenir en haut Aller en bas
 

« les mecs s'efforcent de faire dans le subtile mais restent prévisibles » Ielyan

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
TAKE SOME QUAKER OATS ♦ :: « C’est en faisant n’importe quoi que l’on devient n’importe qui. » :: et parfois, on se jette dans le vide. :: Défaîtes vos valises-
Sauter vers: