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 Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.

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Kees Estevan Verhoeven

Kees Estevan Verhoeven




Date d'inscription : 11/08/2010
Messages : 178
Date de naissance : 09/01/1992

PASSEPORT.
Age & Pays : 23 ans ; Pays-Bas.
Correspondant : Skye Campton.
Relations :

Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. _
MessageSujet: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyJeu 12 Aoû - 15:22

VERHOEVEN Kees Estevan
Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. Ianian
Et parce que le jeu en vaut la chandelle, je suis cap de vivre.




« Carte
d'identité. »

Nom & Prénom(s) : VERHOEVEN Kees Estevan.
Date & Lieu de naissance : 12 avril 1987; à Eindhoven.
Pays de résidence : Pays-Bas.
Orientation Sexuelle : Hétérosexuel.
Métiers/Etudes : Fac de médecine.
Personnalité sur l'avatar : Ian Somerhalder.
Perso inventé/Scénario : Scénario.



« Caractère
& personnalité. »

Je m’appelle Kees. Kees Estevan Veroheven et si vous n’arrivez pas à le prononcer, allez vous faire voir.
Vous avez demandé de la personnalité, non ? Alors, en voilà. Je suis un homme plutôt normal, autant qu’un jeune de vingt-trois balais peut l’être. Après tout, je ne suis qu’un gosse, je ne suis pas pressé de vieillir et de devoir me ranger dans des cases bien trop étroites pour moi. J’ai besoin de place, j’ai besoin d’espace, j’ai besoin de respirer. J’ai toujours été très indépendant, j’aime le fait d’être libre, de n’avoir aucune chaîne à mon poignet, de ne devoir rendre de compte à personne, sauf à moi-même, peut-être. Je n’appartiens à personne, je suis un ouragan et si vous voulez m’attrapez vous avez plutôt intérêt à courir très vite. Quitte à choisir entre l’ombre ou la lumière, j’opte pour l’ombre sans aucune hésitation. Je n’ai pas besoin du regard des gens pour exister, je me contrefous des gens et de leurs pseudos « règles ». Je suis moi, simplement moi et si ça ne plait pas à quelqu’un, qu’il passe son chemin.
A côté de ça, j’ai des valeurs sociables très marquées. La famille et l’amitié sont mes deux principaux piliers, l’un ne marche pas sans l’autre, je ne pourrais pas vivre sans mes proches. Bien entendu, je parle de mes vrais proches, pas de ceux à qui on tape une bise à l’angle d’une rue et qui nous descendent en flèche au prochain arrêt de bus. Non, je parle de ceux qui font partis du décor de ma vie, qui ont partagés avec moi les meilleurs comme les pires moments, de ceux qui n’hésitent pas à me remettre dans le droit chemin quand j’emprunte un chemin glissant et me rattrapent avant que je me casse la gueule par terre. Si vous osez leur faire du mal, encore une fois, tirez vous rapidement loin d’ici. Oui, pour faire partie de ma vie il ne faut pas avoir peur d’un marathon. Je n’attends personne, je cours et certains courent avec moi. La vie est trop courte pour prendre le temps de faire une pause alors laissez moi courir, je ne me fatiguerais pas. Jamais. Je ne suis pas prétentieux contrairement à tout ce que les langues de bois peuvent crier sur tous les toits, je sais simplement ce que je veux, où je vais et avec qui j’y vais. La vie ne nous attend pas, c’est chacun sa place, chacun son tour. Moi, j’ai choisis la mienne, j’ai choisis mon camp ainsi que mon équipe et quitte à en avoir une, j’ai choisis la meilleure. Nous marquerons des points jusqu’à ce que la vie nous élimine du jeu. Alors, qui m’aime me suive mais n’oubliez pas d’investir dans de bonnes chaussures, on ne s’arrêtera pas.



« Raconte-nous
ton histoire. »

Vas-y, respire. N'écoute pas ces maudits docteurs qui traitent ton cœur comme un fossile, comme un souvenir. Ne t’en vas pas, ça ferait trop d’monde à consoler. Vas y bats toi, t’avais qu’à pas tant nous aimer.

10 juillet 2002 :
C’était le début de l’été pourtant il pleuvait à torrent sur mes joues. Eindhoven était en pleines festivités pour je ne sais quelle raison, des feux d’artifice éclairaient la ville en claquant à la gueule du ciel. Et nous, c’était la mort qui nous éclatait à la tronche. Mes yeux jonglaient entre ma mère mourante et la fenêtre, ma mère mourante et le ciel illuminé, ma mère mourante et les passants heureux. Comment pouvaient-ils sourirent alors qu’elle crachait ses derniers soupirs ? C’était injuste, je détestais le monde. Moi aussi je voulais rire, moi aussi je voulais sortir dehors avec mes parents et chanter à tue tête, danser et me goinfrer de spécialités néerlandaises. La vérité c’est que la Terre continuait de tourner pour le reste du monde et que nous, nous étions bloqués ici, dans cette chambre glauque et glaciale et que même quand nous la quitterons, nous serons toujours bloqués à l’intérieur. Pour toujours.
J'avais quinze ans, je n'étais qu'un gosse, rien qu'un gosse qui aurait aimé crier à sa mère de rester, de ne pas l'abandonner, de ne pas le laisser seul dans ce monde de fous. J'étais impuissant et ça me lacérait l'estomac, je voulais la sauver, elle était en train de mourir et je ne pouvais rien faire d'autre que la regarder. C'était un supplice pour mon âme, un calvaire pour mon coeur. Restes Maman, restes je t'en supplie. J'ai tellement besoin de toi, tu sais. J'ai eu la chance d'échapper aux drames familiaux, au divorce de mes géniteurs, aux lourds secrets de familles, aux coups de ceintures. Je n'ai pas connu tout ça, ma mère était la femme de ma vie, mon père était mon héros. Nous étions trois, trois mousquetaires et nous aurions du le rester. C'était bien plus que de l'amour, c'était de la fusion, je pouvais encore entendre nos fous rires résonnaient dans les murs la maison, nos parties de cache-cache me soulevaient le coeur, mon coeur qui débordait d'amour et d'amertume. Alors, c'est ça ton job à toi là haut ? Nous mettre sur Terre puis nous enlever les personnes qu'on aime, les personnes pour qui on donnerait sa vie ? Et bien, vas-y. Prends-là ma vie, connard, prends-là et laisse ma mère tranquille.
Je n’avais rien pu faire, mon père non plus, elle avait fermé les yeux, elle était partie. Définitivement partie. Elle avait quitté le navire en laissant ses partenaires sur le bateau. Je crois que mon père a volontairement percé ce bateau, il l’a coulé parce que c’était trop difficile d’y naviguer sans elle. Il nous a noyé encore un peu plus. Je crois même qu’il est parti en même tant qu’elle, il n’était plus qu’un corps, un corps vide sans âme, sans cœur, sans esprit, sans rien. Juste un corps qui survit, juste un corps qui attend impatiemment la fin ou plutôt le début. Nous étions trois au départ, mais trois moins deux qui s’en vont, ça fait moi qui reste. « Allô ? Kasper ? Amènes toi. »

Et quand l’un se battait dans le bac à sable, l’autre fouttait déjà des coups de pelles à ceux qui l’embêtaient. C’est ça l’amitié, c’est ça Kasper.

15 mars 2004 :
Kasper. Kasper Eden Roemburg. Ce petit con que tout le monde détestait mais à qui personne n’osait tourner le dos. Ce mec là, c’était mon meilleur ami. Mon double depuis nos cinq ans. Dix-huit ans de soutien, dix-huit ans de défis stupides, dix-huit ans de révolution, dix-huit ans d’amitié. Ca vous épate, hein ? On refait le monde pendant des heures, on aimerait tout faire changer et on y arrivera, comptez sur nous, c’est une promesse. Nous avons fait un truc complètement con à nos sept ans, nous nous sommes percés le doigt avec une aguille puis nous avons mélangé notre sang. Ce jour là, on a compris que nous serions plus que des amis, plus que des frères que nous ne serions qu’un pour une éternité, peut-être même pour deux. On a grandit ensemble, on s’est construit ensemble et on crèvera ensemble. C’est la phrase que nous avons inscrite sous le préau de l’école primaire, depuis ils ont refait la peinture, mais nous, aucun putain de pot de couleur a été capable de nous séparer. On connaît nos vies respectives par cœur, évidemment puisque nous étions présents. La primaire, le collège, la première copine, le premier baiser, la première fois, la première rupture, le premier scooter, la première cuite, le brevet, le premier joint, le lycée, les bagarres, le bac, la majorité, le permis, le bal de promo. Tout ça c’était à deux, seulement à deux, seulement à nous. Ce crétin de Kasper c’était un peu ma béquille, j'étais un peu la sienne. Tout est parti de rien et finira de tout.
Mars. On se les gelait à Eindhoven et Kasper n'avait rien trouvé de mieux que de casser le nez d'un parfait inconnu pour se réchauffer. Abruti. A y regarder de plus près, ce mec n'était pas un si parfait inconnu que ça, c'était le fils du maire. Doublement Abruti. C'est vrai Kasper aimait jouer les casse-cou, jouer les gros bras pour impressionner tout le monde et surtout soulager ces pulsions -parfois, je vous l'accore- bestiales. Mister vous-n'auriez-jamais-du-me-frapper -oui, parce que quand Kasper frappe c'est moi qui frappe derrière, même si je ne suis pas concerné- vociférait des menaces pitoyables. Regardes nous enfoiré, tu as vraiment cru pouvoir nous intimider ? On avait dix-sept ans, on était les rois du monde, les rois d'Eindhoven en tout cas, mais le monde, c'était pour bientôt. Nous avions à peine eu le temps de l'insulter qu'une voiture de police arrivait déjà en trombe. « Kasper tu fais chier, vraiment chier ! » Ce petit malin se voyait déjà les frapper, eux aussi. Je fus obligé de l'attraper fermement par le bras et de l'entraîner dans ma course. « Grimpe. Grimpe je te dis, putain ! » Il voulait faire demi tour et casser la gueule de tous ces abrutis de flics, hors de question. Pas ici. Nous avions grimpés la grille qui encerclait une usine abandonnée, délabrée et condamnée. C'était au moins une, une énième fois et on adorait ça.

Et puis un jour on se réveille, et on réalise qu’on a grandit trop vite, beaucoup trop vite.

Le genre de réveil où vous comprenez. Vous comprenez que votre seule préoccupation n’est plus de savoir avec quel crayon de couleur vous allez coloriez votre dessin, que le temps a passé sans que vous ne l’ayez vu filer. Sans que vous vous ne soyez vu vieillir. Vous réalisez que vous avez couché avec la gonzesse de votre meilleur ami, que vous êtes tombé amoureux d’un défi et que votre mère doit sûrement gerber sur les nuages en vous regardant. Pourtant, tout avait plutôt bien commencé. Après le lycée je m’étais inscrit et avait été accepté en fac de médecine. Non pas que l’idée d’apprendre à déchiqueter des cerveaux et lacérer des boyaux me plaisait, non, simplement pour épargner un maximum de famille, un maximum d’amis, un maximum d’enfants de voir ce que j’ai vu. Je voulais contribuer à sauver le monde, voilà ce que je voulais. C’était d’ailleurs ce que Kasper et moi voulions depuis notre plus tendre enfance, mais tout à dérapé et j’ai arrêté de compter depuis combien de jours il me haïssait. Il n’était plus question de révolution, de nous contre le monde entier, c’était l’un contre l’autre, quelle belle évolution à la con.

22 janvier 2010 :
Kas’ et moi étions affalés sur un banc du parc d’Eindhoven, comme des gosses, comme des gosses perdus, des gosses désillusionnés mais pourtant toujours prêt à combattre l’univers s’il le fallait. Ensemble. Il avait trouvé une nana, Jules. Une bourge, je haïssais les bourges et leur façon de nous regarder de haut. Mais celle-là était plutôt sympa pour une fille à papa. On allait bientôt se tirer de là, tous les trois. On allait s’installer au pays des kangourous, poser nos valises en Australie. C’était pas franchement par plaisir, les parents de Jules étaient tombés sur cette foutue pub dans un magasine, une expérience humaine exceptionnelle qu’ils disaient. Mais ils n’avaient pas inscrit leur fille, non, ils avaient inscrit Kasper ces enfoirés pour l’éloigner un maximum de Jules. Et il était hors de question de le laisser se barrer là bas sans moi, sans nous. J’avais donc convaincu Jules de faire partie du vol. Nous étions donc assis là, à parler des choses existentielles et de n’importe quoi, de n’importe quoi, surtout de Jules. « Tu déconnes avec elle, mec. Tu vas tout foutre en l’air et quand tu l’auras fais t’auras plus que tes yeux pour chialer comme une gonzesse. T’es un abruti Kas’ et tu le sais. » C’est vrai qu’il l’était. Il s’amusait à faire semblant, semblant de n’en avoir rien à foutre d’elle et de ses beaux yeux mais avec moi, ça ne prenait pas. Je le connaissais comme si je l’avais fait ce crétin. Il était fou d’elle mais il s’enfermait dans ce rôle de bad boy et préférait souffrir que d’être heureux. « Tu me fais chier Kees avec tes sermons à deux balles. Tu m’emmerdes vraiment. Trouves toi une nana et on en reparle. » Pari lancé, pari attrapé. Un de plus, on adorait ça. Australie, Australiennes, me voilà.

Je suis venu ici pour ma mère. Je suis venu ici pour Kasper. Moi, les kangourous j'en ai rien à foutre.


Le voyage Australien ne s’était pas exactement révélé être ce que nous avions prévus. Une expérience entre potes, le paysage, les feux sur une plage, nos guitares et notre trio. Raté. La prochaine fois peut-être. Aucun retour en arrière possible, nous étions obligés d’y venir. D’ailleurs, j’en avais rien à secouer de l’orgueil bafoué de Kas’ et des larmes noircies par le mascara de Jules, j’étais désormais là pour ma mère, pour découvrir son pays natal, uniquement pour ça. Rien à foutre de vous et de votre histoire tirée tout droit des feux de l’amour. Mais je n’avais pas oublié le défi pour autant, trouver une nana. N’importe quelle pétasse ferait l’affaire. Je n’étais pas un grand fan des histoires amoureuses, encore moins de l’attachement que cela engendrait. La liberté, vous vous souvenez ? J’ai tout de même rencontré cette fille. Tahlia. Elle était plutôt mignonne et n’avait pas émis de résistance à mes tentatives de séduction. Ce serait donc elle, un bon partie pour un pari. La suite ? Quelle suite ? Je ne la connais pas, je ne l’ai pas encore vu. Affaire à suivre guy.



« Liens avec ton
correspondant. »

Se basant sur un principe d'échange, votre personnage aura forcément un correspondant. Cependant, étant donné que nous les répartissons au hasard, cette partie ne pourra être complétée qu'une fois la répartition faite. Nous n'imposons aucun nombre de lignes ici, veillez simplement à expliquer la relation que vous entretenez avec votre correspondant.



« Questions
& réponses. »

Style de musique : Aucun style défini. Si mes oreilles en redemandent je suis preneur, sinon tant pis.
Canapé ou sport : Nos culs sont continuellement posés sur le canapé de la vie et ça, c'est du sport.
Salé ou sucré : Salé.
Soleil ou pluie : Soleil.
Ville ou campagne : Ville.



« Toi ! Oui toi, assis
derrière l'écran. »

Prénom/Pseudo : Marion.
Age : 18 ans.
Comment as-tu découvert le forum ? C'est le bébé de ma complice de la nuit, je pouvais pas le manquer !
Comment le trouves-tu ? C'est le meilleur, of course
Alors, heureux ? Je crèverais presque de bonheur, presque.






Dernière édition par Kees Estevan Verhoeven le Mar 17 Aoû - 2:34, édité 13 fois
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Kasperyn Muse Warhol

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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyLun 16 Aoû - 19:43

Chérie, mon unique Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 218409 Merci encore d'être venue (a). Bienvenue Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 701997
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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyLun 16 Aoû - 20:07

    Bienvenue ici :D Et merci de ton inscription ♥
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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyMar 17 Aoû - 0:09

CHÉRI Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 218409 Ta fiche est juste superbe <3. Vraiment :)

Je te valide ♥️ N'oublie pas de compléter ton profil, de faire une demande de correspondant & surtout, de t'amuser Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 701997
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Kees Estevan Verhoeven

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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyMar 17 Aoû - 0:14

    MERCI Chérie Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 218409 Et merci aussi à Blake ❤️
    Ce forum est une merveille. Je vous bénis (a).
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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptyVen 20 Aoû - 17:06

    N'oublie pas de compléter avec le lien que tu as avec ton correspondant ;)
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Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. _
MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. EmptySam 28 Aoû - 8:06

KEEEEEEEES Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. 113316
N'oublie pas de remplir la partie sur ton corres quand tu reviens le meilleur, 'faut montrer l'exemple :D
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MessageSujet: Re: Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule.   Kees ▬ Et parfois on se jete dans le vide et on se casse la gueule. Empty

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