Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie
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Sujet: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:21
WISDOM Logan Olive
« On a le choix de ses plaisirs, pas celui de ses souffrances. On dirait plutôt que les souffrances nous choisissent, elles connaissent nos faiblesses et le terrain de jeu de nos illusions. »
Take some quaker oats (2010). Cette bannière est au nom de crocodile.
« Carte d'identité. »
Nom & Prénom(s) : Logan Olive ‘Ollie’ Wisdom Date & Lieu de naissance : le 13 juillet 1991 à Perth, Australie Pays de résidence : Australie Orientation Sexuelle : hétéro sexuelle Métiers/Etudes : étudiante en lettres & comédienne amatrice en théâtre Personnalité sur l'avatar : saoirse ronan Perso inventé/Scénario : inventé
Se basant sur un principe d'échange, votre personnage aura forcément un correspondant. Cependant, étant donné que nous les répartissons au hasard, cette partie ne pourra être complétée qu'une fois la répartition faite. Nous n'imposons aucun nombre de lignes ici, veillez simplement à expliquer la relation que vous entretenez avec votre correspondant.
Style de musique : Olive écoute principalement du rock’n roll datant des années 70 aux années 90. Le rock d’aujourd’hui lui plait moins bien qu’elle trouve encore quelques groupes qui lui plaisent. Elle aime écouter des artistes tels que Led Zeppelin, les Cure, les Kooks, les Doors, les Beatles, les Rolling Stones, AC-DC, Genesis, et tellement d’autres. Elle apprécié même les plus vieux comme Elvis Presley, Bill Haley, Chubby Checker et quelques autres encore. Cependant, Olive écoute aussi de la variété, et même quelques fois du classic, sans oublier qu’elle adore le jazz ! Canapé ou sport : Olive n’est pas une grande sportive, mais environ une à deux fois par semaine elle se rend à la piscine pour nager quelques longueurs et ainsi garder la forme. Mais bien entendu, si elle pouvait rester allongée dans son lit, elle le ferait. Salé ou sucré : Ni l’un ni l’autre, elle n’aime tout simplement pas ce qui est trop sucré et ce qui est trop salé. C’est bien simple, la jeune femme ne sale aucun de ses plats, sauf si bien entendu le goût est fade, ce qui est assez rare. Quant au sucré, trop de sucre gâche le goût, alors elle n’en met pas un tas. Soleil ou pluie : Bien entendu Olive aime le soleil, car il fait beau, que l’on peut sortir sans être trempé, habillé comme on le souhaite, mais surtout on ne se fatigue pas le bras à tenir son fichu parapluie. Malgré tout, la jeune femme aime la pluie. Surtout le bruit de la pluie sur son toit lorsqu’elle s’endort le soir. Elle n’aime pas les grosses averses et les gros orages, non Olive apprécie les petites pluies fines sous lesquels courir pour s’amuser devient agréable. Ville ou campagne : La campagne sans hésitation, Olive ne supporte pas les grosses villes, tout ce monde qui se presse tête baissée sans se dire bonjour les uns aux autres, toutes ces voitures, le ciel qui devient gris à cause de la pollution… Olive préfère de très loin un beau séjour à la campagne, entouré de champs de blés et de vaches, où il sent bon la nature.
« Toi ! Oui toi, assis derrière l'écran. »
Prénom/Pseudo : catsoon, blue pour les intimes xD Age : dix huit ans Comment as-tu découvert le forum ? tourne trois fois sur toi-même et tu sauras alors, mais, seulement après t’être grattée l’oreille droite avec ton pied gauche ! --> c’est Kasper qui m’a dit… Comment le trouves-tu ? Alors, heureux ? oh oui *hochement de tête très rapide* très heureux ! *sourire niais*
Merci beaucoup à CSSActif & plus particulièrement à Liliana pour ce magnifique modèle de présentation. icones saoirse-ronan.org.
Dernière édition par L. Olive Wisdom le Mer 18 Aoû - 19:00, édité 8 fois
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:22
« A toi qui lira ces quelques mots un jour, peut être ou même jamais. Ou que tu sois, peu importe la personne que tu es. Ce que tu as fait, ce que tu n’as pas fait. Rien ne peut être pire que la façon dont j’agis. Le pire des crimes peut être pardonné, mon attitude ne peut pas l’être. Mon cœur hurle, se gonfle et éclate dans ma poitrine. Je souffre mais je suis incapable de crier ma douleur. La folie m’a prise d’écrire cette lettre, ce bout de papier qui se perdra chez moi… Et si un jour elle tombait entre les mains de quelqu’un ? Ce quelqu’un, ce sera toi, jeune inconnu dans ce monde. La vie semble cruelle, en vérité elle est absurde. La mort est cruelle. Elle nous prend des êtres chers, mais elle refuse de nous emporter aussi. Pourquoi ? Simplement pour jouir de notre douleur, de notre désespoir. La mort est perfide. T’est-il déjà arrivé quelque chose d’horrible dans la vie ? Quelque chose de tellement insupportable que tu en viens à souhaiter de mourir ? Réfléchis à travers mes mots.
Chaque jour je vois ces gens avancer dans les rues, un sourire niais collé au visage. Ils ne connaissent rien à la vie. Tout ce qu’ils sont capables de faire, c’est travailler. Et se plaindre. Ça ils savent le faire, se plaindre. C’est facile, il suffit d’y mettre un peu de mauvaise volonté. Je ne me plains jamais. Je ne parle jamais. J’écris, de temps à autres seulement. Je n’aime pas écrire ce que je ressens. J’ai l’impression de me livrer corps et âme. Personne ne me connait, et je ne veux pas que ça change. Il n’y aura que toi, qui me lis, qui me connaitra. A travers une simple lettre…
Tu sais, quand j’étais enfant, j’étais comme tous ces autres, insouciante. Je nageais dans l’insouciance du bonheur. J’étais l’étoile qui illuminait les nuits de mes parents, leur petit trésor. Ma mère m’éblouissait chaque jour, chaque fois que je la voyais. Je crois que chaque enfant dit un jour que sa mère est la plus belle, mais la mienne était vraiment la plus magnifique. Tout le monde le disait. Elle avait ce regard qui rassure n’importe qui, n’importe quand, ses yeux brillaient d’amour. Son sourire réchauffait les cœurs, et lorsqu’elle entrait dans une pièce, elle dégageait une telle chaleur qu’on se sentait simplement heureux. Lorsque j’avais un gros chagrin, elle me prenait dans ses bras et m’embrassait, me caressait les cheveux. Je me calmais assez rapidement parce qu’à son contact je me sentais en sécurité. Et puis il y avait mon père, mon super papa. Le plus fort de tous ! Sauf en bricolage, chaque fois qu’il essayait de bricoler, il se faisait mal et puis tout se cassait. Mais quand il faisait des gâteaux, c’était si bon. J’en ai encore les pupilles gustatives toutes émoustillées. J’étais naïve à cette époque, je croyais que rien ne pouvait m’atteindre, j’étais sur mon petit nuage… Il s’est vite détruit mon nuage. Il s’est effacé pour laisser place à l’orage. Je m’en rappelle jours et nuits. Ce souvenir me hante. Lorsque je ferme les yeux, je vois encore le regard éteint de ma mère, le sang coulant sur son joli visage. Je revois mon père, la tête appuyée sur le volant… Chaque fois que je ferme les yeux, je souhaite mourir… Je veux mourir pour mieux les retrouver… »
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1er janvier 2007 – Hôpital de Perth, en Australie
Cette journée là était comme les autres, à l’exception que nous étions le 1er janvier 2007. Nous fêtions la nouvelle année avec ma femme lorsque mon téléphone a sonné, j’ai du me rendre en urgence à la caserne. En principe j’avais mon jour de repos, mais on nous appelait de tellement d’endroits que notre effectif se faisait serré. Finalement j’y suis allé, laissant ma femme seule avec ma Mindy, ma petite fille qui fêtait sa première année depuis deux mois. J’ai tout juste eu le temps de me changer en arrivant à la caserne, avec mon équipe on repartait déjà. Un accident nous avait été signalé en ville. Une voiture qui s’était apparemment coincée sous un bus. En arrivant sur les lieux, on a tous frémit. Ce n’était vraiment pas beau à voir ! Le bus se trouvait en perpendiculaire de la rue, bloquant toute la circulation, mais il était encore debout. Les personnes présentent dans le bus devaient certainement être en bonne santé. La voiture, quant à elle, se trouvait en effet encastrée sous le bus, vers l’arrière. Le toit était totalement aplatit, et je ne pense pas que les personnes présentent dans la voiture aient pu survivre à un tel accident… Mais nous espérions tout le contraire. La police arrivait à peu près au même moment que nous sur les lieux, et ils s’empressèrent de bloquer la rue. Quant à nous, nous courions vers les accidentés. Le bus s’était vidé avant notre arrivée, sauf quelques rares blessés qui avaient été laissés sur place. « Comme on nous répète sans cesse qu’il ne faut pas bouger un blessé avant l’arrivée des secours, on les a laissé dans le bus… » Répétait une dame à l’un de mes collègues. Je n’ai pas écouté le reste, je me suis hâté vers la voiture. En m’approchant j’ai entendu des gémissements de douleur. « Ne vous inquiétez pas, on va vous sortir de là ! » Dis-je d’une voix qui se voulut rassurante. « Ma petite sœur… elle saigne… et ma mère… » Entendis-je alors. C’était une voix féminine, jeune, surement une adolescente. Elle ne pleurait pas je crois, surement sous le choc. Mais ce qu’elle dit me poussa à m’activer. « Comment t’appelles-tu ? » « Olive… » « Olive on va te sortir de là, ta petite sœur également, ainsi que tes parents. » « Ma petite sœur a… quatre ans… elle saigne… » Je n’entendis pas la suite. « Okay on a un enfant en bas âge, une jeune fille et au moins un adulte ! Il faut les sortir au plus vite ! » On a tous bossé comme des forcenés, appelant une dépanneuse pour sortir la voiture de là le plus rapidement. Ainsi que les ambulanciers pour qu’ils soient présents. On a pris des grosses pinces tranchantes et on a entrepris de découper le coffre pour atteindre les enfants. Dans ces moments là, on a vraiment l’impression d’y passer trois heures et pourtant on se dit que chaque seconde compte, chaque seconde est précieuse à la survie des passagers. Puis finalement, après de nombreux efforts, quelques échecs et une réussite, on est enfin parvenu à sortir les victimes de la voiture. Une petite fille de quatre ans blessée grièvement, inconsciente et emmenée d’urgence à l’hôpital. Une jeune fille très légèrement blessé, aussi étonnant que cela puisse paraitre, la fameuse Olive s’en sortait indemne. Quant aux parents… on ne put en dire autant… Malheureusement, ils avaient perdus la vie dans cet accident.
« Ah c’est pas de chance, si ces fichues routes n’avaient pas été glacées, y aura jamais eu pareil foutoire ! » S’exclama un officier de police. J’hochais la tête, le regard hagard. J’observais cette jeune fille qu’on emmenait vers l’ambulance. J’ignorais son âge, en tous les cas elle était désormais orpheline. « J’espère que la p’tite va s’en sortir… » Murmurais-je. J’ai agis sur un coup de tête, sans même réfléchir. J’ai dit aux gars de retourner à la caserne sans moi. Puis je suis monté dans l’ambulance aux côtés de la jeune fille. « Bonjour Olive, je m’appelle Joakhime. Je fais partie des pompiers qui t’ont sortis de la voiture. » Elle m’a regardé comme si j’étais transparent, comme un être insignifiant. Et elle s’est contenté d’articuler un simple « enchantée », elle avait l’air de ne pas en penser un mot. Mais je ne lui en tins pas rigueur, après un évènement comme celui-ci… Comment reprocher à une enfant d’être aussi absente ? « Tu vas bien ? » Elle hocha la tête lentement. Allait-elle vraiment bien ? A mon avis, elle n’était même pas en mesure de le savoir par elle-même. Encore sous le choc de l’accident, elle eut le regard dans le vague durant tout le voyage. En arrivant à l’hôpital, des infirmiers soignèrent les quelques blessures superficielles qu’elle avait au visage, aux bras et aux jambes ; puis ils la firent patienter en salle d’attente. Sa petite sœur était en réanimation. Olive le savait, elle l’avait demandé dès son arrivée. J’eus tôt fait d’appeler ma femme pour lui dire que je rentrerais tard, je lui expliquais brièvement la situation. Elle me dit de prendre soin de la petite jusqu’à ce que sa sœur aille mieux. Je m’assis à côté d’elle, en salle d’attente, et j’entrepris de démarrer la discussion. « Dis moi Olive, comment s’appelle ta petite sœur ? » Il y eut un silence durant lequel je me demandais si elle m’avait entendu, ou même écouté. « Pepper. » Finit-elle par répondre. « Pepper, c’est très joli. Avec un nom pareil, elle doit avoir un sacré caractère. Je me trompe ? » Olive cligna des yeux et me regarda, je sentis son regard se ranimer un peu. « Oui… oui elle est spéciale. Pepper veut toujours tout savoir, tout avoir et elle pense qu’elle a toujours raison contrairement aux autres. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, elle fait la loi à la maison. Je l’ai déjà vu avec ses copines, c’est elle qui décide qui fait quoi. Elle est vraiment rigolote. Et puis elle adore prendre les vêtements de maman pour se déguiser. Maman ne dit jamais rien, elle rit… Elle est si belle maman quand elle rit… si belle… » Sa voix se perdit, des larmes roulèrent sur ses joues. Je la pris dans mes bras, et elle fondit en larmes. C’est si dur de perdre un parent, je le sais, mon père est mort il y a quelques années. Mais perdre ses deux parents le même jour, ça me parait insurmontable !
« Mademoiselle ? Votre sœur est sortie de réanimation. Elle se repose dans la chambre 102, vous pouvez aller la voir. Mais… » Olive n’attendit pas la suite, elle partit en courant vers la chambre où se trouvait sa petite sœur. « Dites moi qu’elle va s’en sortir ? » « Vous êtes de la famille ? » « Non, je suis pompier. C’est moi qui les ai sortit de leur voiture. » Le médecin secoua la tête de droit à gauche en fronçant les sourcils. « Les lésions sont bien trop importantes, on soupçonne une hémorragie interne sans vraiment en être sur. » « C’est affreux… » « En effet, ça l’est. Nous souhaitons tous voir cette petite se remettre très vite sur pieds. Malheureusement, on doute qu’elle tienne le coup plus de quarante huit heures. » Je poussais un long soupir. « Cette jeune fille a perdu ses parents, et maintenant elle risque de perdre sa petite sœur… » Le médecin afficha une mine défaite avant de repartir à ses occupations, quant à moi j’allais voir Olive et sa sœur.
En arrivant à la porte, je vis Olive qui parlait à la petite fille allongée sur le lit. Olive s’était assise à ses côtés et lui caressait les cheveux, elle lui parlait doucement pour tenter de la rassurer. « Où sont maman et papa ? » Demanda la petite fille. Olive afficha un petit sourire. « Tu te souviens de ce qui se passe quand on meurt ? » « On va au paradis des anges ? » « Oui. Maman et papa sont allés au paradis des anges. Ils sont tout là haut, perchés sur une étoile en train de nous regarder. Ils te surveillent, ils m’observent. Ils veillent sur nous. » « Pourquoi ils ne sont pas restés ? » Olive ferma les yeux un court instant. « Parce qu’il arrive parfois qu’on ne nous laisse pas le choix, maman et papa n’ont pas eu le choix. » « Je ne comprends pas… » « Moi non plus Pepper, moi non plus… Retiens juste ça, maman et papa t’aimaient très fort, ils t’aiment très fort. » « J’ai envie que maman me fasse un câlin. » Le silence se fit pendant lequel Olive regarda avec tendresse sa sœur. « Moi aussi… » Sa voix s’étrangla, et les larmes jaillirent de ses yeux, coulant sur ses joues. Je décidais alors de les laisser seules toutes les deux, je me rendis donc en salle d’attente.
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L’horloge de la salle d’attente affichait vingt heures, et Olive n’avait toujours pas quitté la chambre de sa petite sœur. En arrivant dans l’embrasure de la porte, je remarquais que la petite dormait pendant qu’Olive lui caressait doucement les cheveux. « Tu dois avoir faim. » Ce n’était pas réellement une question, je l’avais dit comme une affirmation. Elle ne me regarda pas. « Je ne peux la laisser toute seule… » « Elle n’est pas toute seule, il y a des infirmiers et des médecins dans tout l’établissement. Viens donc manger, ça te fera le plus grand bien. » Elle marqua un temps avant de me répondre. « D’accord. » Elle embrassa sa sœur sur le front et me suivit. Lorsque nous fûmes sortit de la chambre, je lui proposais quelques endroits où dîner. « Il me semble qu’il y a une cafétéria dans cet hôpital, mais à moins que tu ne souhaites manger une purée au goût de chaussettes, je te propose d’aller ailleurs. Aimes-tu le McDonald's ? » « Disons que ça se laisse manger. » J’eus droit à un petit sourire de sa part. Ainsi, je l’emmenai manger au fastfood. Elle parla peu et c’est moi qui fis la conversation pour deux. J’en appris tout de même un petit peu à son sujet, mais pas assez pour dire que je la connais. En revanche, elle partit dans un monologue concernant Pepper, et je compris à quel point elle serait détruite si elle se retrouvait seule. Aux alentours de vingt deux heures je la ramenais à l’hôpital, Olive avait insisté. Elle voulait à tout prix dormir avec sa petite sœur. Ce que je pouvais tout à fait comprendre. Quant à moi, il fallait que je rentre chez moi. Mais juste avant de partir, je lui fis la promesse de revenir dès le lendemain matin. « Merci. Merci pour tout. » Me dit-elle simplement avant que je m’en aille.
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2 janvier 2007 – Hôpital de Perth, en Australie
Les médecins couraient en tout sens dans les couloirs, que se passait-il donc ? Je n’avais pourtant vu aucune ambulance devant l’hôpital, donc pas de nouveaux blessés. Soudain j’aperçus Olive par terre, appuyée contre un mur, la tête dans ses genoux. Lorsqu’elle m’entendit approcher, elle releva des yeux rougis et gonflés vers moi. « Pepper… elle a commencé à tousser du sang… » Me laissant tomber à ses côtés, je la pris dans mes bras. Sa détresse était tellement évidente qu’elle me fit monter les larmes aux yeux. Fichue sensibilité ! Je la berçais comme je pus. J’avais l’impression de tenir ma fille dans mes bras, sauf qu’Olive est bien plus grande. « Je suis sûr qu’elle va se sentir mieux. » Je ne voulais pas dire qu’elle s’en sortirait, ses chances étaient infimes. Mais je ne souhaitais pas dire à voix haute qu’elle allait mourir. Pepper se sentira mieux, c’est assez vrai. Elle ira rejoindre ses parents, elle veillera sur sa grande sœur de là-haut. Et puis elle ne souffrira plus. Mais pourrais-je en dire autant d’Olive ? Elle souffrira, de tout son être. Cette blessure dans son cœur ne se refermera peut être jamais. Elle aura alors besoin de soutient, et je serai là pour elle. On ne la quittera plus, ni moi, ni ma femme. On ne pourra pas parler de parents de substitutions, mais d’une ancre à laquelle se raccrocher en cas de besoin. Et dieu sait qu’elle en aura besoin ! J’espère juste qu’elle l’acceptera…
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi par terre dans le couloir, mais nous avons finalement vu les médecins ramener Pepper dans sa chambre. Elle semblait dormir, et un médecin s’est approché de nous. Pas le même que la veille, une femme cette fois-ci. « Mademoiselle Wisdom ? » Dit-elle en s’adressant à Olive. Celle-ci se releva doucement, essuyant ses larmes. « L’état de votre sœur est instable… nous ne pouvons malheureusement rien faire pour elle. » Olive fut secouée de sanglots, mais elle tenta de se contenir, écoutant la suite. « Pour l’instant elle semble allée, mais pour combien de temps, nous ne pouvons pas le dire. Peut être devriez-vous passer vos derniers moments avec elle. Je suis sincèrement désolée… » « Avec tous les moyens que vous avez, vous ne pouvez rien pour elle ? » Cria soudainement Olive. « La médecine se vante de s’être incroyablement améliorée ces dernières années, mais vous êtes toujours pas fichu de sauver des vies !! » Les gens présents dans le couloir la regardèrent avec des yeux ronds. En ce qui me concerne, je ressentais sa tristesse mais j’étais dans l’incapacité d’agir pour elle. Olive se battait contre elle-même, contre sa tristesse. Elle entra dans la chambre de sa sœur et claqua la porte. Me postant derrière la porte, je l’observais à travers la petite vitre. Pepper s’était réveillée et Olive pleurait à ses côtés tout en essayant de se calmer. Je la vis sourire à travers ses larmes. Quoi qu’ait pu dire Pepper, elle avait réussi à faire sourire sa grande sœur, et celle-ci en avait besoin.
J’attendis dans le couloir une grande partie de la matinée. A midi, j’apportais de quoi manger à Olive. Je fis alors la connaissance de Pepper, une petite fille très charmante. Olive lui expliqua que c’était moi qui les avais sauvés de la voiture, et Pepper me remercia. Alors que j’étais encore dans la chambre, Olive en profita pour aller faire un tour aux toilettes. Je m’assis à côté du lit, près de Pepper, qui de sa toute petite voix faiblarde me parla. « Monsieur… » « Appelle-moi Joe. » « Joe, je vais… rejoindre papa et maman… pas vrai ? » Je lui souris, doucement, pour la rassurer, j’eus même envie de pleurer. « Oui… » Ce fut à son tour de me sourire. Mais elle ne semblait pas triste, elle était même heureuse dans sa façon de sourire. « Ollie n’est plus toute seule, tu es là maintenant. Tu resteras avec elle ? Promets-le Joe… » Parler autant la fatiguait. Et il y eut tant d’amour pour sa grande sœur dans sa phrase que je ne pus retenir mes larmes. « Je te promets Pepper que je prendrai toujours soin de ta grande sœur. » Elle me sourit, rassurée, elle me demanda alors de lui donner à boire. Olive revint peu après, et heureusement pour moi, elle ne remarqua pas que je m’étais laissé aller à mes émotions. Décidant de les laisser seules, je prétextai avoir besoin d’aller me chercher à boire.
« Un médecin vite ! » Hurla Olive de la chambre, sans attendre j’appelai un médecin et j’entrai dans la chambre. Pepper s’était remise à cracher du sang, et pas qu’un peu. Ses draps n’étaient plus blancs mais rouges. Sa toux était rauque, son souffle coupé. Olive hurlait qu’un médecin vienne, ce qui ne tarda pas. Elle fut volontairement éloignée du lit, et les médecins s’affairèrent autour de la petite. Elle toussait de plus en plus, semblant se vider de son sang… Olive pleurait, ne quittant pas sa sœur des yeux, elle se sentait impuissante… Je me sentais inutile. Je ne sais pas ce qui s’est soudain passé, mais Pepper s’est éteinte. Elle s’en est allée retrouver ses parents. J’entendis comme un rire joyeux, celui d’une enfant qui court vers ses parents. Et puis Olive hurla. Si fort. C’était tellement douloureux, ça me déchira le cœur. Elle poussa les médecins qui se trouvaient devant le corps inerte de sa petite sœur. Elle l’attrapa par les épaules, la secoua, l’appela. « Pepper !!! Pepper réveille-toi !!! Me quitte pas !!! Pas maintenant, pas toi ! Pepper j’ai besoin de toi !! S’il te plait Pepper ! Me laisse pas toute seule s’il te plait… Pepper… Me laisse pas Pepper… » Sa voix se brisa, les larmes roulaient sur ses joues roses. La petite rouquine s’accrochait au corps de sa sœur. Les médecins durent l’éloigner doucement pour emporter le corps hors de la chambre. « NOOOOONNNN !!! » Hurla Olive lorsqu’elle eut compris qu’on emmenait sa sœur. « VOUS N’AVEZ PAS LE DROIT DE ME L’ENLEVER !!! » Elle hurlait si fort mais les médecins ne démordaient pas. Je me demandais alors s’ils avaient à faire à ce genre de situations souvent. Olive hurlait, criait, pleurait. Elle suivit en courant les médecins qui emmenaient sa sœur sur un brancard, sous un drap. En voyant partir sa sœur, elle tomba à genoux au milieu du couloir. Je la vis serrer les poings sur sa tête. Elle ne cessa pas de pleurer. Je crois qu’elle pleurait pour sa sœur, mais également pour ses parents. Elle posa son front par terre, continuant d’hurler de douleur. « Pepper… Pepper… » Gémit-elle. Je m’approchais d’elle, la releva et la serra dans mes bras. Ses larmes inondèrent mon cou, ses cris me percèrent les tympans. Mais qu’importe. J’avais promis à Pepper que je prendrais soin de sa sœur. Plantés au milieu du couloir, je ne prêtais aucune attention aux gens qui nous regardaient, qui passaient, qui vivaient. Il n’y avait plus qu’Olive, son désespoir et moi-même. J’aurai pu me forcer à ne pas pleurer, mais j’ai toujours été très sensible. Je me suis mis à pleurer avec elle. Voyez ces deux âmes en perdition dans ce couloir, nous pleurions la mort d’êtres chers. Nous pleurions un bout de notre âme qui venait de mourir…
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« T’as-t-on déjà forcé à faire quelque chose que tu ne veux pas faire ? C’est actuellement ce que je vis. Murée dans ma solitude, dans mon silence, je me porte très bien. Mais on m’oblige à participer à un échange idiot de correspondant. Je vais bientôt devoir accueillir quelqu’un chez moi… On m’a dit que c’était bon pour moi, qu’ainsi j’aurai plus de compagnie. J’aurai préféré avoir un chien… Ma petite sœur aimait les chiens… Et que détestes-tu le plus en ce monde ? En ce qui me concerne, c’est moi que je déteste le plus. J’ai survécu. Mes parents et ma petite sœur sont morts. Jamais je ne me le pardonnerais… Je suis seule maintenant, seule au monde. Seule contre tous, seule contre moi. »
Dernière édition par L. Olive Wisdom le Ven 20 Aoû - 23:32, édité 11 fois
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:22
« Je n’aime pas tellement parler de moi… Le peu de gens qui me connaissent ne m’apprécient pas vraiment. Ils disent que je suis associable, renfermée et peu agréable de compagnie. Ils n’ont pas tord. Ceux qui me connaissaient avant, je ne les vois plus. Et ceux que j’ai aimés, je les ai perdus. Je vais vous paraitre bien triste, mais ne vous apitoyez pas sur mon sort. J’ai en horreur les gens qui essayent d’être sympathique avec moi juste parce que j’ai un passé difficile. Vous comprendrez rapidement que je ne suis pas une fille joyeuse. Je ne m’extasie pas devant un chiot qui tente de s’attraper la queue, et je ne saute pas de joie devant des bijoux. Mais je ne suis pas non plus une adepte de Marilyn Manson, je n’aime pas les trucs gores. En fait, j’aime simplement qu’on me laisse tranquille dans mon petit monde. Si je suis une fille solitaire ? C’est tout à fait cela, je suis très solitaire. Je me porte même beaucoup mieux quand je suis seule. Je n’aime pas la foule, je n’aime pas les autres. Les seules personnes que j’ai jamais aimées m’ont quittés pour toujours... Je n’accorde pas ma confiance, et je ne fais pas d’exceptions. Oui je suis une fille qui se méfie de tout et de tout le monde. Je me méfie de tout sauf du danger. C’est pour cette raison qu’on dit que je suis irréfléchie et insouciante. N’ais-je pas essayé plus d’une fois de mettre fin à mes jours ? Pas directement, non. Je suis incapable de me jeter de ma fenêtre, ou de me taillader les veines. Je suis lâche. Mais je suis capable de traverser comme une aveugle, de me mettre en travers du chemin d’un agresseur. J’accepte de me porter volontaire comme otage, tant que ma vie y est risquée. Je ne souhaite pas vivre. Pas sans ma famille. Ils sont tous morts, et pas moi. C’est pour une raison, me punir. Mais de quoi ? Je cherche encore.
Et puis je n’ai pas terminé. Je suis impolie. Associable et impolie qui plus est. Quand quelqu’un essaye de démarrer une conversation avec moi, j’ai vite fait de l’envoyer voir ailleurs. Je n’aime pas qu’on me parle. Et puis lorsqu’on me parle, j’ai ce regard absent qui en énerve plus d’un. Je ne vis pas dans le présent, je ne vis pas dans le futur. Je vis dans le passé, dans mes souvenirs. Je n’essaye pas d’avancer, à quoi cela me servirait-il ? Je n’ai pas d’avenir. Je n’attends que ce jour où enfin ma vie cessera, où enfin j’irai retrouver mes parents et ma sœur. Je suis défaitiste et désespérée, c’est vrai. Mais on ne part pas gagnant après avoir vécu une histoire comme la mienne… Je suis impatiente. Et aussi anxieuse. J’ai peur des voitures. Je ne suis plus montée dans une voiture depuis mes seize ans. Pour me déplacer j’utilise les transports en commun, ou mon scooter. Toutes les voitures sont des armes à tuer, j’en suis sûre. Je suspecte les concessionnaires de vouloir tuer tout le monde. On me dit aussi suspicieuse. Mais je n’ai besoin de personne pour savoir ce que je suis. Misanthrope ? Certainement ! A quoi bon faire confiance. Pessimiste, brusque ? On me l’a trop de fois reproché. Je l’assume pleinement. Je ne suis pas une personne de bonne compagnie… »
Margaret Weez – directrice de l’orphelinat.
« Bien entendu Ollie a des défauts. Qui n’en a pas ? Mais à l’écouter, on croirait qu’elle n’a que cela. Chaque fois qu’elle rencontre une nouvelle famille venue pour adopter un enfant, elle leur fait la liste complète de ses défauts. Et bien souvent elle l’enjolive. Alors évidemment, plus personne n’a voulu d’elle… Il y avait bien ce monsieur qui prenait si souvent soin d’elle. Malheureusement il n’a jamais pu l’adopter… Problème d’argent, de famille. Qu’importe la raison, on peut ou on ne peut pas. Mais nous parlions d’Ollie. Puisqu’elle est incapable de se faire éloge d’elle-même, c’est moi qui vais m’en charger.
Ollie est une personne mûre, quoi qu’elle en dise. Elle a fait preuve plus d’une fois de maternité envers les plus petits de l’orphelinat. Mais dès qu’il s’agit de lier contact avec quelqu’un de son âge ou de plus vieux qu’elle, Ollie se ferme totalement. Elle n’aime pas montrer ses sentiments, c’est certain. Et pourtant c’est une jeune fille très sensible. Combien de fois l’ais-je surprise à pleurer ? J’ai cessé de compter… Cette petite m’attriste, j’aimerai tant l’aider ! Elle est passionnée, douce et intelligente. Et si franche, oh oui si franche. Si quelque chose ne lui convient pas, jamais elle n’hésitera à le dire. Certes, beaucoup disent d’elle que c’est une râleuse. Ce n’est pas vrai. Il est rare de l’entendre se plaindre. Elle dit juste ce qu’elle pense au moment opportun. Ma chère Ollie est sérieuse, d’ailleurs je ne crois pas l’avoir déjà vu sourire… C’est aussi quelqu’un de perspicace, elle comprend vite les situations qui l’entourent. Elle observe chaque mouvement, chaque geste, tout ce qui se trouve autour d’elle. Mais elle observe en silence. Et puis elle est déterminée. Oh oui ! Malheureusement, elle semble déterminée à mourir… Je n’en dormais plus la nuit passé un moment. Combien de fois n’a-t-elle pas essayé de se tuer ? En provoquant un chien. Un traversant en courant alors qu’un camion arrivait. Heureusement la bonne étoile veille sur elle ! Pour finir, je dirais qu’Ollie est une fille naturelle. Elle ne se maquille pas il me semble, ou alors c’est tellement discret qu’on ne le voit pas. Elle n’aime pas la superficialité. Et malgré ses airs de « je n’aime personne », c’est un cœur tendre qui souhaite sauver les bébés tortues. Ollie est également une créatrice dans l’âme. Elle est capable d’écrire des courts romans captivants. Je trouve juste dommage qu’elle essaye de s’en débarrasser à chaque fois. Elle aime la musique également. Je l’ai vu plus d’une fois se calmer en jouant du piano ou de la guitare. Mais c’est aussi une autre source d’isolement… »
Dernière édition par L. Olive Wisdom le Sam 21 Aoû - 0:12, édité 4 fois
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:26
C'est parce qu'elles sont trop longues, il faut en trouver des moins longues et ça ira tout seul ;) Ou alors mets les avant le cadre ! Quoiqu'il en soit bienvenue, bon courage pour ta fiche. Cela dit il me semble que quelqu'un a aussi commencé sa fiche avec Emma, donc on verra qui finira par l'avoir ^^
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:39
Bienvenuuue (:
Loùkhià avait pris Emma aussi :/ Essaye de voir avec elle ?
Théophile W. R-Macklin
Date d'inscription : 16/08/2010 Messages : 556 Date de naissance : 28/12/1994
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 13:55
c'est bien qui je pense? OMG OMG BLUUUUUUUUUUUUUUUUE cassou pour te servir (l)
welcome here (a) love u
Kasperyn Muse Warhol
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 14:03
Nanna d'amouuuuuuuuuuur Merci de ton inscription (a). Tu vois avec Mai' pour l'avatar Honey ? <3
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 14:05
Arf, je ne savais pas qu'une Emma était déjà inscrite. C'est que je tiens vraiment à cette célébrité. Si sa fiche n'est pas terminée je vais tenter ma chance. Merci à tous pour votre bienvenue, je changerai d'emplacement les signatures.
CASSINOUNETTE !!!!! en plus avec Samuel, excellent choix ! KASPER quoi ? C'est cette traitresse de Mai qui a prise Emma ? >__< baah j'vais voir avec elle alors plutôt que de faire la course.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 21:02
Bon, étant donné que Lou m'a volé ma Emma (xD) sous le nez et aussi parce que je suis tellement gentille que j'ai décidé de changer alors que j'avais clamé haut et fort y a de cela deux semaines que je la voulais... hahaha ! C'est bon j'arrête mes bêtises, Lou va culpabiliser sinon. Bref, j'ai besoin de votre aide !
Je recherche une jolie jeune fille semblant ou ayant 21 ans, blonde si possible (un peu comme Emma). Mon personnage n'aura pas la vie facile, comme si mère nature avait décidé de se liguer contre elle, donc pas quelqu'un de super joyeux. Elle peut sourire de temps à autres, mais qu'elle n'ait pas la banane tout le temps.
Arriverez-vous à m'aider ? J'avais pensé à Georgia Jagger, Juno Temple, Julia Stiles, et je ne sais plus qui... mais je ne suis pas sûre, j'ai besoin de votre avis, de votre aide et de vos propositions.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 21:12
Personnellement j'ai une préférence pour Julia Stiles (:
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 22:21
Merci pour ton avis Blake. Je viens d'en trouver deux autres que j'aime beaucoup : Saoirse Ronan et Tamsin Egerton. De quoi me faire douter encore plus.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 22:25
Welcome et bon courage pour ta présa :D Saoirse
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mar 17 Aoû - 23:49
Welcome, bonne chance pour ton nouveau vava ♥
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:29
Merci toutes les deux ♥ J'ai un Julia Stiles, un Saoirse Ronan. Que faaaiiiiire ? Je désespère, tant que je n'ai pas d'avatar, je vais avoir du mal à avancer ma fiche. Parce que du coup, j'adapte le caractère et l'histoire au visage qui l'accompagne.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:32
Oh oui Saoirse ♥ J'ai adoré cette actrice dans Lovely Bones, ce film me fait chialer à chaque fois que je le vois.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:39
Je vote Saoirse aussi (:
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:53
Merci à toutes ♥ Donc en prenant en compte vos avis, je penche pour Saoirse. Mais chiante ancrée profondément dans mon âme, me voilà en train d'hésiter entre elle et Zippora Seven. Donc ma dernière question est, qui de l'une ou l'autre ? A savoir, si vous me dites que quelqu'un est déjà en construction de fiche avec Zippora, je garde la jolie rouquine.
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:56
Jusqu'à présent personne n'a commencé sa fiche avec Zippora !
Kees Estevan Verhoeven
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:58
Bienvenue charmante Ollie ❤
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Mer 18 Aoû - 11:59
Merci de ta réponse, bon j'me suis décidée et désormais j'arrête de vous embêter, héhé, enfin juste pour l'instant hein. : p Je garde donc Saoirse, merci de vos avis
Merci Kees
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Sam 21 Aoû - 0:13
J'ai le chic pour faire des doubles postes...
J'AI TERMINÉ !!! J'espère que mon histoire et tout le reste vous plaira
Kasperyn Muse Warhol
STAFF – membres, je vous aime.
Date d'inscription : 13/06/2010 Messages : 1151 Date de naissance : 23/03/1994
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Sam 21 Aoû - 2:21
J'ai ADORE ta fiche En meme temps, j'adore ton style d'écriture, la façon dont tu présentes son histoire & tout
Tu es validée Blue d'amour :D N'oublie pas d'aller compléter ton profil, chercher des liens & si créer un lien en jouant t'intéresse, un sujet t'attend dans la partie "plus c'est cliché plus c'est bon" :) Surtout... PENSE A T'AMUSER
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Sam 21 Aoû - 11:19
Venant de toi de tels compliments ne peuvent que me toucher, tu écris tellement bien ! Merci ma Nellichou Oh et ne t'en fais pas pour l'amusement, je pense arriver à m'adapter à votre folie... xD Mais saurez-vous vous adapter à la mienne ? On verra ça dans le prochain épisode...
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie Sam 28 Aoû - 8:12
Hellooooooooooooow Pense à remplir la partie sur ton corres' ma jolie ;)
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Sujet: Re: Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie
Ollie - La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie
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