(c) Lighted Fireflies
« I love you mom »

« Monsieur Gàsco… votre femme est décédée, nous somme désolé nous n’avons rien pu faire… » La vie se ponctue toujours par une naissance, puis par la mort… C’est le court des choses, et dans un sens c’est beau. Leur amour aussi était beau a ses deux la. Abygael Espéranzà Gàsco, née sous le nom de Arcos. Une belle jeune femme, la cadette d’une famille de trois. Elle rencontra Roberto Gàsco dans une de ses fêtes organisée pour les jeunes, pour établir des liens, faires des rencontres… Et comme dans une série a l’eau de rose, les deux jeunes gens eurent le coup de foudre. L’amour immédiat alors qu’il était encore très jeune. Mais qu’importe, il n’avait plus de règle, il voulait vivre ensemble, et fonder une famille. Leurs famille. Alors très vite, peu a prés la fin des études, ils se marièrent. Leurs parents respectifs approuvèrent leurs décision, et très vite ont pu les voir s’installé dans une jolie petite maison discrète. Tout le reflet de leurs amours. Un endroit pure, clair, sans encombre. L’avenir leurs promette de jolie chose, une belle carrière de comptable pour Roberto, une offre comme journaliste pour Aby. Et très vite, on appris que la jeune femme était enceinte. Tout s’enchainé a une allure folle, mais rien ne pouvait freiner leurs frénésie, leur envie si grande d’être parent, d’avoir une belle famille. De vivre heureux… Enfin, pour cela il faut vivre. Car comme on l’as vu, Abygael décéda. Et pourtant les échographie n’avait rien prédis, juste un petit garçon. Un très beau petit garçon. Il s’appellera Nathanael, ou bien Nathan pour la vie de tout les jours. Et Roberto’ était fier d’avoir un fils, un beau fiston qui fera honneur a son paternel. Alors on prépara son arrivé, avec attention, en s’appliquant, jusqu’au dernier jour. Son ventre bien rond, son ventre énorme même. « C’est normal » lui dit-on, âpres tout c’était son premier enfant. Enfin, on termina d’accrocher les derniers cadres, de fixer les derniers rideaux avant d’emmener la jolie Abygael a la clinique. Une bonne clinique lui avait-on dit, avec un bon service infantile. Sauf que l’excellente réputation de la clinique Saint George ne changea rien. Abygael Espéranzà Gàsco, née Arcos, perdu la vie en la donnant a Nathanael Ethan Gàsco, et a sa fille Bahïa Espéranzà Gàsco. Des jumeaux. De faux jumeaux, un garçon et une fille, que l’on avait pas vu aux échographie. Un père normal aurait tout de même était heureux d’apprendre cette nouvelle. Mais pas lui. Dans sa tête, dans son petit esprit étriqué, sa fille c’était incrusté dans leurs vie, et avait tué sa mère. Car, comme on l’appris plus tard, c’est en donnant naissance a sa fille qu’Abygael perdu la vie. Nathan, lui née huit minute plus tôt était donc innocent.
Monsieur Gàsco repartit donc avec ses deux enfant sous le bras. Roberto avait perdue sa femme. Nathan avait gagner le droit au bonheur. Et Bahïa venait d’entrer en enfer… Qui as donc dit que la vie était le plus grand des cadeaux ?

(c) Lora
« Lollypop Lollypop Oh Lolly Lolly Pop »

« Je me souviens de toutes mon enfance, dans les moindres détails. Le gout de mes sucettes, la taille de mes bulles de chewing-gum, la couleur des robes dont je rêvé… Mais aussi la violence des coups de mon père, ses insultes toujours plus méchante et l’impuissante de mon frère devant ses scène la… » En effet, des son retour a la maison avec ses enfants, Mr Gàsco n’avait pas encaisser la perte de sa femme… et c’est une chose qu’il ne fera jamais. Tandis que Nathan avait une belle chambre neuve, toute bleue, Bahïa elle irrité d’une minuscule pièce, au papier peint beige, passé au soleil… Mais qu’importe, une enfant de huit ans n’est pas matérialiste. Et on ne s’attache pas a ses détails quand on veut être heureuse. Mais comment être heureuse, comment avoir une enfance épanoui, si la peur nous envahi des que l’on entend le son de la cloche. Quand tout les enfants était pressé de rentrez chez eux, de retrouver père et mère qui les attendait avec leurs gouter, Bahïa elle trembler a cette idée. Son père, ou plutôt ce monstre, la tenait pour responsable de la mort de sa mère. Et il lui faisiez payez chaque jours, sous les coups, les insultes. Ses coups la marquèrent a jamais, lui laissant au creux du bras droit une cicatrice. Ses insultes aussi la marquèrent, dans sa tête. Vivre avec la haine de son père sur son dos… Et son frère quand a lui, impuissant ne faisait rien. Oh bien sur, il aurait pu s’interposer, mais qu’Est-ce qu’un enfant de huit ans pouvait bien faire… Pendant que les autres enfants, jouaient, riaient, Bahïa elle faisait les corvées que sont père lui imposé. C’est seul moment de liberté était a l’école… Enfin, a force de la voir sous ses coups, Nathan décida d’intervenir. Il ne le fit qu’une fois… Il s’interposa entre Roberto et Bahïa. Son père n’apprécia pas ce geste, pourquoi son héritier venait-il a prendre la défense de cette fille… Le coup partit, Nathan tomba a terre, le poignet cassé. Son père regretta, et lui offrit une montagne de jouer pour combler son geste…
« Je me souviens plus particulièrement de cette journée la, il faisait chaud, Nathan joué au jardin avec des amis. Et moi, confiné dans ma chambre. Mon paternel avait entassé un carton dans ma chambre, de vieux souvenirs, de vieille affaires de ma mère. Par curiosité, j’ai ouvert le carton, et j’ai trouver une petite boite métallique. Avec précaution je l’ai ouverte, il y avait la de vieux souvenirs personnel de ma mère. Une photo d’elle et de ses sœurs, une photo d’elle au bal du printemps, belle et rayonnante. Et une autre image d’elle avec mon père… J’ai découvert aussi un pendentif en forme de cœur, ou l’on peut mettre deux photo a l’intérieur. Et ce jour la, je le regrette, j’ai voulu faire plaisir a mon père, qu’il me pardonne, qu’il m’aime enfin. J’ai découpé soigneusement la photo pour la glisser dans les petit cœurs. Puis je lui ai porter. Je regrette, je n’aurais jamais du essayer de gagner son amour. Il n’as pas apprécié mon geste, ma balancé le pendentif au visage et m’as frappé. Depuis ce jour, je n’essaie plus de le reconquérir. Qu’il ne m’aime pas, tant pis, tant mieux. Je ne l’aime pas non plus. Je ne cherche plus a obtenir son pardon, ni même son amour… J’ai gardé la petite boite métallique a ma mère pour moi, ses souvenirs. Cette boite, ce pendentif, ses photos représentais ma mère, tout ce qui me resté d’elle. »

(c) Lora
« Bahïa, te quiero amor »

« Il est venue un temps, ou mon père ne pouvait plus rien faire contre moi. L’adolescence, ou la période la plus folle de votre vie. Celle ou vous grandissez, vous devenez fort. Moi j’était déjà grande dans ma tête, et je suis devenue forte dans mon corps, et mon cœur. Plus d’amour qui tienne, ni de pardon… » L’adolescence marque la fin de l’innocence, des joies enfantine, et la commence les pleures et les désillusion. C’est a cette période que l’on se rend compte que nos parents nous on mentis toute notre vie, sur le père noël, la petite sourie, ou bien même notre avenir. Bahïa, elle n’eu pas tout cela. Quand on a pas d’enfance, on a pas cette période de transition atroce avec toutes ses questions. On passe directement de l’enfance, a l’adolescence. Peu âpres son douzième anniversaire, le douzième anniversaire de la mort de sa mère, Bahïa rencontra ce petit groupe d’amis, c’est personne qui allèrent bientôt changer sa vie. De mauvaise fréquentation, de mauvaise personne. Bahïa se mit bientôt a boire, a trainer tard le soir. Puis elle ne rentrait plus, elle se droguait, on retrouvait des trace de seringue sur ses bras. Ses cernes était toujours un peu plus grande, son code vestimentaires changea lui aussi…
« Il ne pouvait plus me blesser. Il ne pouvait plus me frapper, je savais répondre a ses insultes, répondre a ses coup, et pourquoi pas répliquer. Que ceux qui me répète que l’on doit le respect a nos parents aillent en enfer. Je ne lui devait rien, plus rien depuis le jour ou il m’avait condamné au malheur. Je le haïssait, de tout mon corps, de tout mon cœur. Il avait brisé ma vie ,mes espoirs, mes rêves, et mon cœur… Je ne serait plus jamais capable d’aimer qui que ce soit… » Du moins c’Est-ce que pensé Bahïa. Dix sept ans a peine, et déjà toute ramollis par la vie. Sa réputation n’était pas grandiose, ses notes pas brillantes… Elle était au secondaire, aux lycée. Depuis un temps, elle n’y allait plus vraiment pour étudier, mais pour lui. Pour ses beaux yeux, elle avait découvert une nouvelle drogue, bien plus puissante, bien plus forte, et tellement plus saine. Elle rester proche de lui, sans l’approché. Elle le contemplait simplement, voila tout. Elle resta plusieurs mois comme cela, sans aller le voir… Petit a petit, elle décrochait des drogues, tout en buvant assez pour compenser, pour avoir assez de courage pour rentrer chez elle. Puis au printemps, avant son dix huitième anniversaire, il se parlèrent. Tout s’enchaina très vite, elle lui plaisait aussi, et a eux deux, ils formèrent le couple mythique. Son premier grand amour… Celui qui avait presque réussi a la sauver. Six mois de bonheur a deux, six mois de vie pour la jeune femme. Comme si elle venait de naitre, enfin. Mais sans raison apparente,Bahïa ressentait ce besoin de faire souffrir a son tour, et puisque ce garcons était la, c’était donc lui qui allait souffrir. Elle le trompèrent, et sans chercher a le cacher. Il fit de même et ne le cacha pas plus qu’elle. Le couple mythique se cassa la gueule. Sa vie avec, son cœur avec. La belle jeune femme qu’elle était devenue six mois plus tôt repartit dans la dépression totale. Et sans soutien d’une mère, Bahïa retomba en enfer, elle chuta chez les Narcotiques. Toute une année a se détruire, a ruiner sa vie, sa santé, ses espoirs, ses envie et ses rêves. Enfin le coup de grâce arriva le vingt quatre novembre deux milles sept. Nathan et elle venait d’avoir dix neuf ans. Un beau chiffre, un beaux score. Roberto voulait surement se racheter une conscience, obtenir le pardon de son fils, et peut être de sa fille ? Qu’importe la cause, il avait organisé pour son fils et sa fille, un repas d’anniversaire. Pour commémorer aussi la mort de leurs mères. Tout aurait pu bien se passer, Bahïa aurait peut être eut enfin le pardon de son père si elle n’était pas arrivé chez elle aux alentours de minuit, escorté par deux policier en tenue. On venait de la retrouver dans une ruelle, prés d’un conteneur, complètement saoul… Son père l’insulta une fois de plus, lui répétant qu’elle avait gâcher sa vie, celle de son frère et celle de sa mère. Les coups partirent, une fois de plus, des deux cotés… « Sors de chez moi trainé ! Sors de cette maison, vas t-en ! Tu nous fais honte ! Tu fais honte a mon nom, a ma famille et a mon fils ! » Bahïa était enfin chasser de chez elle… Et pour une fois, Nathan réagit. « Si elle part, je part aussi. C’est toi, et toi seul qui a détruit cette famille, Bahïa n’as rien a se reprocher » Et il abandonnèrent leurs père, dans cette grande maison. L’adolescence marque la fin d’une période de la vie. Pour Bahïa, elle annonce la vie tout simplement…

(c) Lora
« How to Save a Life ...»

« Je n’ai jamais vraiment pensé a la mort, a ses conséquences, a sa suite. Ce qu’il y a âpres, si cela fais mal, comment c’est. Comment j’aimerais mourir moi aussi. La mort n’as jamais était prés de moi, n’as pas frappé mon entourage… Enfin si ma mère, en nous donnant la vie elle a perdu la sienne. Mais je n’existait pas encore, et je ne savais pas ce que signifiait ce mot, la mort. Maintenant je sais. Cela signifie l’absence de vie, donc de bonheur… » Peu âpres la dispute avec Roberto, les deux jeunes plièrent bagage. Depuis sa plus tendre enfance, son père avait mis une belle petite somme d’argent de coté pour son fils, pour ses études. Cette petit somme d’argent leurs permettaient de s’installer de trouver un petit appartement. Ils avaient maintenant un petit appartement coqué, un chez eux bien a eux, une nouvelle vie. Juste âpres l’optention de son diplôme, Bahïa quitta les études. Elle voulait gagner de l’argent, pour aider Nathan, et parce qu’elle savait que l’argent ne serait pas éternelle. Nathanael quand a lui, devait continuer ses études et devenir ce qu’il voulait. Leurs vie était maintenant bien plus heureuse, plus simple. Bahïa était rayonnante, grâce a l’aide de son frère elle avait peu a peu délaisser les drogues, délaisser aussi ses mauvaises fréquentation qui l’avait détruit. Bahïa était même retombé amoureuse, elle c’était découverte une passion pour les voiture et les moto. Une passion d’homme, certes. Il y avait aussi ce beau garagiste, qui était d’accord a remonter cette vieille moto… Sa vie c’était bel et bien arrangé. Nathan quand a lui n’avait plus son père sur le dos, il était lui aussi libre, totalement libre. Il pouvait mener la vie qu’il voulait, devenir ce qu’il voulait… La vie était enfin belle pour les jumeaux Gàsco…
« - Je ne comprend vraiment pas pourquoi tu veux le voir, et encore moins m’emmener le voir avec toi…
- Je veux le voir parce que c’est notre père, que c’est Noël, et je t’emmène avec moi pour que tu conduise…
- Tu peux conduire toi.
- Lollie… Je t’en prie. Pour moi, pour ton frère qui t’aime. Ca ne vas pas te tuer tout de même.
Moi non, mais toi oui… Voila ce que j’aurais du lui dire pour le convaincre de ne pas y aller, de rester chez nous, de rester en vie. Rester en vie… Je ne me souviens pas de grand-chose, juste qu’il avait réussi une fois de plus a me convaincre. Même si je n’avais aucune envie de rendre visite a mon paternel, je voulais faire plaisir a Nathan, le rendre heureux. Notre père avait déménagé, il avait quitté Barcelone pour s’offrir une belle petite maison de campagne, a cinq kilomètre de la grande ville. Cinq petit kilomètre. Cinq kilomètre mortel… Jamais je n’aurais du accepter de le conduire la bas, non jamais, et je regrette… Je ne me souviens pas de grand-chose, juste le bruit de la taule qui se froisse, les crissement des pneu. Mes cris étouffant, a moins que ce ne soit les siens. Le verre qui se brise, mon crane aussi. Les craquement des os sous cette bataille atroce. Puis plus rien, le trou noire, vide, le néant. Je me suis réveillé a la clinique Saint George, et j’aurais trouver cela amusant de mourir dans la même clinique ou l’on est née… Mais je ne suis pas morte, et c’est bien dommage. J’avait enfin compris le sens de ce mot, la mort, et j’aurais préféré être morte a sa place. Je suis rester un mois et demie dans le coma, un mois et demie a dormir ca fait rêvé n’Est-ce pas ? Sauf que c’est pas si bien que cela. Un mois et demie dans le noir, et je ne me rappelle de rien. A mon réveil, personne. Si, Willy, mais Nathan n’était pas a mon chever, ce qui m’as tout de suite inquiété. Puis le médecin m’as dit ce qui c’était réellement passé. Ce camion, ce chauffeur trop fatigué qui c’était endormis au volant. J’ai pas pu l’éviter, lui non plus, et Nathan n’avait pas sa ceinture de sécurité. Trop pressé d’aller voir notre père, enfin son père car pour moi il n’était déjà plus rien. Nathan était passé par-dessus le pare brise, le crane fracturé, une commotion cérébrale. Il fut lui aussi dans le coma, pendant trois jour avant de faire une hémorragie cérébrale qui lui couta la vie. Je l’avoue, je suis une mauviette, j’ai pleurer toutes les larmes de mon corps. Nathan était tout pour moi, ma seule famille, le seul qui comptait… Nathanael Ethan Willis a eut la chance de reposer a coté de ma mère, Abygael… Je n’avait pas assister a son enterrement, puisque je n’était pas vraiment en état, mais peu a prés mon réveil j’ai reçue un appel de mon père. C’est la dernière fois que je répond a ce numéro… « Tu as tué ta mère, tu as tué ton frère, qui tu tueras âpres hein ? Moi ?! C’est moi que tu tueras ?! » Je le détesté. Et dire que mon frère était mort juste pour lui rendre visite. Je le savait, on aurait du le laisser croupir dans son coin… Il m’avait rendu la vie impossible de ma naissance jusqu’à mes dix neuf ans. Et même maintenant qu’on ne vivait plus ensemble, il réussissait a détruire tout ce qu’il y avait autour de moi. A m’enlever le peu de bonheur encore présent dans ma vie, a m’enlever mon frère… » La vie se ponctue toujours par la mort, puis se finis par la naissance… ou le contraire tout dépend de la date ou vous commencer a vivre… Pour Bahïa, sa date de mort est le vingt six novembre deux milles neuf, la ou la mort a emmener son frère loin d’elle, son bonheur loin de sa vie…

Bienvenue ici et bon courage pour le reste ♥

Bahïa E. Gàsco a écrit:

NIIAH c'est toi
Bah merci milles fois a toi alors,
Tu me réserve un petit lien ?

j'aime ta fiche bienvenue.

Tu es validée (:
N'oublie pas d'aller demander des liens, des rps, et surtout amuse toi :D

Oui :)
Moi je le vois aussi. Lenn', tu sors :P

Bahïa E. Gàsco a écrit:

Mais non, ne soit pas jalouse Jazzlyn, je t'en laisserais un petit bout

Merci a vous pi Christensen