Nom & Prénom(s) :Brice Loïc Bastien Constant Derieux.
Date & Lieu de naissance : Paris, le 22 Novembre 1987
Pays de résidence : France
Orientation Sexuelle : Hétérosexuel
Métiers/Etudes : En pause dans ses études; préparation "psychologique" à un doctorat en entomologie appliquée.
Personnalité sur l'avatar : Joseph Gordon-Levitt
Perso inventé/Scénario : Purement imaginaire; toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite.

Cerner la personnalité de Brice est quelque chose de peu facile. Il est vrai qu'on pourrait croire lire dans un livre rien qu'en le regardant dans les yeux; quelqu'un de gentil, tendre, parfois même romantique tout en restant virile et responsable. Mais en creusant un peu plus, on peut lui trouver une personnalité totalement différente, comme si il avait un double sens, comme une pièce. Ainsi, en commençant par les défauts, on pourrait éviter les qualificatifs égoïste, imbu de lui-même ou encore individualiste en le qualifiant tout simplement de perfectionniste. En effet, voulant depuis sa tendre enfance Parisienne faire partie de l'élite que cette ville présentait à chaque coin de rue, il s'est toujours tué à la tâche pour être en avant et être sur d'avoir un avenir, et ne pas devenir un « loser » comme son frère l'était. Il faut dire que ses efforts ont plutôt bien payé, et même si ce garçon déborde de qualités, il lui reste les séquelles d'une vie faite d'apparence et de performances.
Parlons maintenant de son caractère maintenant, de sa façon de réagir devant un problème donné. Il est « posé », tranquille. Toujours agir façon cool, c'est un peu son crédo. Il ne sort pas facilement de ses gonds, et il a du se battre en gros deux fois par ans depuis son adolescence, pas plus. Il est sur que les autres garçons (ou parfois même quelques filles ayant de sérieux problèmes avec leur sexualité) lui cherchent souvent misère, on ne sait pourquoi – peut-être parce que c'est un tombeur, ou peut-être parce qu'il est très intelligent ou un très bon sportif – mais il préfère toujours résoudre les problèmes de façon pacifiste. Mais ne le poussez quand même pas trop. Parce que le plus petit des caniches peut très bien être plus agressif que le bulldog (proverbe canin).

12 Juillet 2007, Paris.

Il faisait nuit noire à deux heures du matin, et mis à part l'ampoule qui pendait faiblement du plafond de la cuisine qui jumelait le jardin, rien n'éclairait la nuit. Il y avait un bruit dingue à l'intérieur de la maison où se déroulait la fête, c'est pour ça que Brice était sorti. Il sirotait tranquillement sa bière tout en regardant les étoiles. Il trouvait ça magnifique, mais c'est sûrement parce qu'il était complètement décalqué de fatigue et d'alcool. C'était aujourd'hui l'anniversaire d'un de ses amis du club de tennis. Il fêtait ses dix-huit ans et avait pour cette occasion invité une quarantaine de personnes à faire la fête chez lui. Elle battait son plein et Brice s'amusait vraiment. Il s'éclatait, dansait un peu et plus tôt dans la soirée, quand le taux d'alcool dans son sang était encore un petit peu plus élevé, il avait gobé un poisson rouge vivant pour impressionner quelques filles. Ca n'avait pas vraiment marché, et l'une d'entre elles était même partie vomir. Tant pis pour lui.

Il s'était couché dans le gazon et ne faisait pas attention aux gens qui passaient au-dessus de lui, au couple qui copulait sur la chaise longue à a peine trois mètres ni à la jeune fille qui s'était couchée à côté de lui depuis maintenant près de dix minutes, sans rien dire. Jusqu'à ce qu'elle se décide à lui parler, non pas qu'elle ait eu envie de se faire un ami, mais parce que c'était comme ça, ils étaient saouls et quand on est saoul, on parle souvent pour ne rien dire, à n'importe quel inconnu dont on ne se rappellera plus le jour d'après.

N▬ Tu es le mec qui a gobé le poisson?
B▬ C'est moi. Mais en général, on m'appelle Brice.
N▬ Brice, hein? J'ai beaucoup entendu parler de toi. Moi c'est Naomi.
B▬ Enchanté. Qui t'a parlé de moi?
N▬ Tu joues au foot avec mon copain, Tom.
B▬ Ah.

Silence. Brice avait les yeux fermés et s'était assoupi. Tom était un bon ami à lui, peut-être un peu macho mais avec un bon fond. Naomi avait l'air d'être une fille cool, elle avait une voix douce. Et comme Brice s'était tourné pour l'apercevoir, il avait pu voir même dans le noir qu'elle avait un tout petit visage, de longs cheveux noirs et une bouche minuscule. Et de très grands yeux clairs, bien que dans la pénombre de la nuit il n'avait pas pu définir leur couleur. Il rêva d'elle, et il rêva qu'ils étaient couchés dans l'herbe à se regarder jusqu'au matin. Mais à bien y réfléchir, ce n'était peut-être pas un rêve.


12 Août 2007, Paris

B▬ Un grand café au lait et un expresso.
N▬ Je trouve ça sexy que tu commandes le café à ma place, tu sais?

C'était le matin. Naomi avait passé la nuit avec Brice, ça avait été génial, génial génial génial géééénial et génial. Ca faisait trois jours qu'ils passaient leurs journées à se balader main dans la main dans les rues de Paris et leurs nuits à se battre avec les draps du lit de Brice. Celui-ci ne savait pas si c'était sa barbe poussante au menton ou l'air chaud de l'été qui faisait ça, mais il avait complètement fait craquer cette fille. Et il n'était pas peu fier. Bien sur, elle n'avait plaqué son copain, le grand baraqué de Tom qui jouait en défense dans l'équipe de football de Brice, que depuis une semaine mais il n'avait pas pu s'empêcher de la draguer « a fond les manettes », tout simplement parce qu'il était tombé amoureux d'elle vers six heures du matin, un mois plus tôt, quand il eut fini de cuver son vin en se réveillant à côté d'elle dans le jardin de Luc, son meilleur ami. Elle était magnifique, magnifique, magnifique et il était sur, au moment même où il la vit, que c'était la femme de sa vie. Il lui sourit et déposa un baiser sur ses lèvres; ils allèrent s'asseoir sur un banc pour boire leur café.

B▬ Tu veux savoir ce que moi, je trouve sexy?

Il s'approcha de son oreille avec un sourire aux lèvres mais s'écarta au dernier moment, parce que quelque chose vibrait dans sa poche et ça n'était sûrement pas une partie de son anatomie. Il décrocha après avoir fait la moue, l'air presque dégoûté, en voyant le nom s'afficher sur son téléphone.

B▬ Oui Allô ... Quoi? Non mais tu plaisantes? ... Ecoute, je peux pas trop te parler là maintenant... Oui... Ouais on se voit ce soir... Non je suis avec quelqu'un là... Oui une fille, pourquoi ? Ok laisse tomber à ce soir.

Il verrouilla son téléphone à clapet (la classe en 2007, hein) et sourit à Naomi, qui elle n'avait pas vraiment l'air réjouie.

N▬ C'était qui?
B▬ T'es jalouse?

Brice lui fit un sourire mais elle n'avait pas l'air de plaisenter.

B▬ C'était mon frère.
N▬ Tu as un frère ?
B▬ Oui.

Vide dans la conversation.

B▬ Je sais, j'en parle rarement. C'est pas vraiment une fierté nationale, en fait.

Brice avait le regard vide. Naomi le voyait, elle voyait qu'il était comme en train de se remémorer des événements, mais comme il ne souriait pas ils ne pouvaient pas être joyeux. Il est vrai qu'ils ne sortaient ensemble que depuis trois jours, et encore ils n'étaient qu'à l'étape passionnelle, ils n'étaient pas encore officiellement ensemble. Elle ne voulait donc pas être indiscrète, même si elle mourrait d'envie qu'il se confie à elle. Elle le regardait dans les yeux, attendant qu'il capte son regard et qu'il lui parle lui-même. C'était tout ce qu'elle voulait, et Brice le comprit. Il lui prit la main.

B▬ Tu sais, il y a des choses que je n'ai jamais dites, et parfois certaines que j'essaye de refouler.
N▬ Tu n'es pas obligé de me raconter, si tu n'as pas envie.

Il soupira et serra sa main. Il ne lui dirait rien.

B▬ Je sais. Et j'espère vraiment qu'un jour on sera assez proche pour que je te raconte tout.
N▬ Je l'espère aussi...

Ils se sourirent mutuellement et continuèrent leur journée comme si rien ne s'était passé. Et pourtant ce moment avait été important pour tous les deux, car il avait apporté de la sincérité, de la confiance et de l'espoir en une relation sérieuse à chacun d'entre eux. Ils en étaient conscients chacun et réellement heureux, en fait, de se rendre compte qu'ils avaient peut-être bien trouvé un idéal opposé.

17 Janvier 2008, Paris.

Les couverts s'entrechoquaient, et mis à part quelques raclements de gorge discrets, il n'y avait pas beaucoup de bruit. Les cinq personnes étaient à table. Il y avait tout d'abord Joséphine, la mère de Brice. Née d'une famille Marseillaise, elle avait rêvé de devenir une star à Paris durant les années quatre-vingt. Le seul problème étant qu'elle dansait aussi bien qu'un poulpe et n'avait aucun talent en chant, elle n'avait jamais réussi à percer. Elle avait alors jeté son dévolu sur Samuel, un homme plutôt simple, un ancien sportif démoralisé par sa dernière blessure irréversible (un oeil crevé lui empêcherait de réaliser son rêve et d'être gardien de buts de l'équipe de France de football), qui débutait une carrière en tant que chef d'une petite entreprise de menuiserie. Elle ne se doutait pas encore qu'il allait percer là-dedans et s'en mettre plein les poches; elle avait en quelque sorte tiré le gros lot. Ils avaient eu deux magnifiques bambins: Dimitri tout d'abord, qui avait fini junkie à force de rater tout (école, sport, musique, vie sentimentale) et Brice, le fils prodigue, l'enfant doré, celui qui avait plutôt bien réussi. Il avait dix-neuf ans, il étudiait les « insectes » à l'université (tout le monde se demandait d'ailleurs d'où lui venait cette attirance, lui qui était si coquet, pour les invertébrés), jouait au foot en P2 (ce qui n'est pas mal du tout) et avait surtout une magnifique fille à son bras. Naomi, la cinquième personne à table, devait sans doute être la plus gênée. En effet, Brice l'avait prévenue que sa famille était bizarre, mais elle n'imaginait pas réellement de voir un gars s'absenter toutes les demi-heures pour aller sniffer sa ligne dans les toilettes, un vieux bedonnant avec une chemise à carreau et un bandeau bleu ciel sur l'oeil droit et une réplique de Brie Van de Kamp vieillie. Cette famille ne correspondait pas à l'image qu'elle avait de Brice, et pour dire vrai elle aurait sûrement éclaté de rire devant un pareil tableau si elle ne respectait pas autant Brice.

Je pourrais maintenant recopier un des dialogues de la soirée mais la seule chose à dire est que si il y en a eu trois (et c'est beaucoup), ils étaient complètement vides de sens. Ainsi passèrent quatre longues heures de cuisine au beurre et de glace vendue au litre avec de la chantilly en bombe. Après de (trop) longues embrassades, Naomi et Brice partirent pour rentrer chez ce dernier, main dans la main. Une fois qu'ils étaient assez loin, ils se regardèrent du coin de l'oeil et se sourirent pour ensuite éclater de rire.

B▬ Tu comprends pourquoi je ne te parle jamais d'eux, maintenant!
N▬ Faut dire que je ne t'ai jamais harcelé pour que tu me parles de ta famille...
B▬ Et c'est exactement pour cela que je t'aime.

Octobre 2009, Paris.

Il était trois heures de l'après-midi et il neigeait. Il faisait tellement froid dehors que Brice et Naomi n'étaient pas sorti de la chambre de la demoiselle, mis à part pour manger un bol de Kellogg's le matin même (mais ils avaient à peine du aller dans la cuisine, donc ça ne compte pas vraiment). Ils étaient couchés sur le lit de Naomi et elle lisait un magazine pendant que Brice potassait ses cours.

▬ Je pense que je vais arrêter.
▬ C'est sur que je m'ennuie, et si tu posais ce bouquin trente secondes on pourrait faire quelque chose de plus amusant...

Le sous-entendu était très clair, et Brice se laissa aller aux baisers pendant une vingtaine de secondes mais il comprenait qu'elle ne saisissait pas réellement ce qu'il voulait arrêter.

▬ Non, arrête, arrête...
▬ Ouh, douche froide.
▬ C'est juste que je parlais pas d'arrêter maintenant, je parlais d'arrêter... Arrêter.
▬ Arrêter tes études ? Mais tu es fou ? Tu réfléchis à ce que tu dis?
▬ Eh Nao, calme toi une seconde... Je pense juste à terminer mon année et puis faire mon Master plus tard... Tu sais, voyager un peu, réfléchir à ce que je veux faire.

Elle lui lança alors son magazine en plein dans la tête, avec un grand sourire. Elle se blottit contre lui et ouvrit une page qui montrait en arrière-plan une plage, des surfeurs et des jeunes qui s'éclataient.

▬ L'Australie, ça te tante ?
▬ Tu rigoles j'espère ? Attends, c'est juste une idée comme ça là...
▬ Ils font un concours. Un an avec un correspondant étranger, et ça commence l'année prochaine. Ecoute, je sais que c'est brutal, et c'est juste un concours, mais essaye au moins, rien que pour t'amuser... Puis, si ça se trouve tu seras même pas pris.
▬ ... D'accord, mais seulement si tu participes aussi.
▬ ... D'accord :)

Ils remplirent le formulaire comme indiqué et envoyèrent leur candidature sans réellement penser aux conséquences.



Février 2010, Paris.

N▬ NON! Je suis désolée, mais non, je ne suis pas d'accord.
B▬ Calme toi, essaye de comprendre...
N▬ Je suis désolée mais je ne peux pas comprendre que tu te casses à l'autre bout du monde pendant un an.
B▬ Tu ne peux pas m'en empêcher de toute façon.

Naomi n'avait même pas les larmes aux yeux, non, pas encore. Elle était juste en colère, très en colère parce qu'elle venait d'apprendre. Son petit Brice, avec qui elle était en couple depuis deux ans et demi venait de lui annoncer une nouvelle. Ou plutôt, il lui avait dit qu'il avait quelque chose de très important à lui dire, et sans savoir réellement pourquoi elle avait pensé qu'il allait lui demander de l'épouser. En effet ils étaient ensemble depuis longtemps et ils avaient maintenant un âge assez raisonnable pour le mariage. Mais non, il lui ne lui demanda rien du tout, et pire, il lui annonçait qu'il allait partir un an en terre australe, SANS elle. Alors que devait-elle faire à part piquer une crise? Le fait est qu'elle était aussi terriblement jalouse qu'il ait gagné ce concours et pas elle, puisqu'il se faisait sur des critères de motivation et de hasard.

La conversation les avait un peu refroidis et ils parlaient maintenant plus posément, tranquillement et à coeur ouvert. Naomi avait un peu pleuré avant, mais maintenant qu'elle s'était calmée Brice essaya quand même de savoir le fond de l'histoire.

B▬ Tu veux vraiment m'en empêcher?
N▬ Tu sais bien que non... C'est juste que... Je n'ai pas envie de te perdre, et un an c'est très long.
B▬ Ne t'inquiète pas pour ça! Ecoute, je t'aime, et je ne pars que dans six mois. On a tout le temps pour s'arranger, tu viendras me voir pendant les vacances de Noël, et on trouvera le temps de se parler... Je n'ai pas envie que ça mette un frein à notre relation, mais j'ai vraiment besoin de quitter tout ça... Tu sais, Paris, mon toxico de frère, les études... Il faut que je me repose, tu comprends? J'en ai besoin.

La nuit fut longue, ce soir-là. Ils avaient tous les deux peur de ce qu'adviendrait de leur relation, évidemment. Mais Brice, à ce moment, croyait en elle, croyait en lui mais encore plus, il croyait en eux. Ils avaient un passé mais ils savaient qu'ils auraient un futur encore plus long, du moins ils l'espéraient.

Août 2010, Paris.

Il faisait plutôt froid pour le début du mois d'Août. Brice avait mit un pull, ce qui ne lui était plus arrivé depuis deux mois. Il tenait Naomi contre lui et lui caressait les cheveux. A ce moment-là, il se rendait compte que même si il l'aimait plus que tout, il aurait énormément de mal à être loin d'elle.

Il s'était répété cette conversation des centaines de fois dans sa tête, et il savait que ça allait être dur. Il savait qu'elle allait réagir au quart de tour, comme à chaque fois. Mais il fallait qu'il lui en parle, il fallait aussi qu'il assume les conséquences de ce qui allait se passer, et de toute façon il partait trois jours plus tard.

▬ Naomi, tu sais que je t'aime?
▬ Je t'aime aussi Brice.
▬ Il faut que je te parle de quelque chose.
▬ ...
▬ Ecoute, je ne veux pas que tu m'attendes, une fois que je serais parti. Tu ne dois pas rester toute seule pendant une année entière parce que je ne veux pas que tu souffres. Je vais partir et il faut que tu continues à t'épanouir, et c'est pour ça qu'il faut qu'un se sépare. Pas pour toujours, mais pendant que je serais parti. J'aimerais que tu voies d'autres personnes, et quand je reviendrais on mettra ça au clair. Parce qu'il faut être honnête envers nous-même, les relations à distance ne marchent pas, même si on s'aime, ça ne marchera pas.

Naomi n'écoutait plus depuis la première phrase que Brice avait dit. Elle avait tout d'un coup froid et chaud à la fois, une boule énorme dans sa gorge, et l'envie absolue de le frapper. Les larmes lui montaient aux yeux, et elle n'arrivait pas à parler, pourtant elle voulait qu'il se taise, oh oui elle le voulait. Bien plus que tout, d'ailleurs. Pour elle, ce qu'il disait ne sonnait que comme « Ecoute je vais baiser plein d'Australiennes et de polonaises donc te prive pas pour en faire autant ». Elle voulait le frapper, elle voulait se retirer de son étreinte. Puis elle réfléchit et comprit qu'il avait totalement raison, parce que si elle l'attendait elle ne ferait que déprimer et s'enfiler de la glace, et quand il reviendrait elle serait obèse et il la plaquerait. Elle se tourna vers lui, acquiesçât de la tête et l'enlaça. C'est à ce moment qu'ils se rendirent compte tous les deux qu'ils s'aimaient, et que l'autre allait terriblement leur manquer. Mais il n'y avait rien d'autre à faire, il allait partir et elle restait, c'était la triste loi de la vie, elle se sentait comme une femme de militaire et lui comme un lâche qui partait, tout simplement, en laissant sa femme derrière lui.
Et leur nuit fut fantastique.

Kaeden, Kaeden, Kaeden... C'est une vraie crème. Je me retrouve tellement en lui. Ca me pousse à me demander si notre âme n'a pas été mixée à notre naissance. On a le même âge, la même personnalité, les mêmes rêves, et on se ressemble même un peu physiquement. Alors peut-être que nous sommes des prototypes de clones. Evidemment, vivre avec son double, ce n'est pas tous les jours facile. On se dispute souvent, pour des broutilles, mais au final on s'adore. On est comme des frères.

Style de musique : Pop rock, indé, old school hard rock.
Canapé ou sport : Sport
Salé ou sucré : Salé
Soleil ou pluie : Soleil
Ville ou campagne : Campagne

Prénom/Pseudo : Atwi; Anouck .
Age : 16 ans
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